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Saulieu
Edifice |
Basilique
Saint-Andoche, ancienne abbatiale et collégiale |
Situation |
Centre
ville, 21210 (Côte-d'Or) |
Parties
Romanes |
Nef,
bas-côtés, clochers et vestiges de la crypte |
Décoration |
Chapiteaux
de la nef, portail sud, fragments de tombeau |
Datation |
Deuxième
quart
du 12e siècle |
Introduction
- Historique - Description
- Visite
Introduction
Le
visiteur qui aborde la basilique Saint-Andoche dans la jolie petite
ville de Saulieu, aux portes du Morvan et de l’Auxois,
ne s’aperçoit pas de l’extérieur qu’il
se trouve devant une église comptant parmi les plus importantes
de la Bourgogne. Cette basilique se trouve sur l’emplacement
d’un lieu de culte très ancien, qui s’est développé
au moins depuis le 5e siècle sur le tombeau des saints Andoche,
Thyrse et Félix, martyrs du 2e siècle, venus de l'orient
pour évangéliser la région. D’une grande
église carolingienne subsistent vraisemblablement les vestiges
de la crypte. L’église, érigée par Etienne
de Bagé dans la première moitié du 12e
siècle, a été largement défigurée
au cours des siècles suivants. De cette basilique romane,
probablement légèrement postérieure à
Vézelay et à Autun,
il ne nous reste que la nef qui montre une structure clunisienne
avec ses trois étages sous berceau brisé et son triforium
aveugle, ainsi que les clochers restaurés de la façade.
La nef est d’une architecture sobre mais élégante
et harmonieuse, et directement influencée par la cathédrale
d’Autun. L’édifice est
mutilé et partiellement détruit par les outrages du
temps; le chœur et le transept de l’église romane
n’existent plus et sont remplacés au début du
18e siècle par le chœur actuel tandis que le portail
ouest a été refait au 19e siècle. Mais c’est
la collection de chapiteaux de la nef qui est à juste titre
la merveille de Saulieu. La cinquantaine de chapiteaux des colonnes
engagées, d’une qualité et d’une abondance
grandiose, est souvent comparée aux chapiteaux d’Autun
où on retrouve plusieurs fois le même thème.
Motifs végétaux, animaux et plusieurs scènes
bibliques montrent un art très expressif, issu de Cluny
et arrivé par Autun et Vézelay
à Saulieu. Le sculpteur de Saulieu, ayant probablement moins
d'expérience que les artistes des grands foyers bourguignons,
se remarque surtout pour sa grande liberté d'interprétation,
et offre quelques analogues avec les œuvres de Laizy
et de Bussy-le-Grand. Le problème
de la datation des deux ensembles de chapiteaux d’Autun
et de Saulieu n’est pas facilement résolu, mais certains
spécialistes s’accordent sur la qualité supérieure
des chapiteaux de Saulieu. A
Saulieu vous pourriez ensuite visiter le Musée Pompon, abritant
quelques fragments provenant de la basilique.
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Fontaine et
façade de Saint-Andoche |
Historique
Pour retracer
l’histoire de Saulieu il faut remonter à l’époque
gallo-romaine, quand le bourg de Sidolocus ou Sidis
Locus profitait de sa situation privilégiée sur
la Via Agrippa entre Aballo (Avallon)
et Augustodonum (Autun). C’est
au 2e siècle qu’Andoche et Thyrse,
venus d’Orient pour christianiser la région, s’arrêtent
à Saulieu, vers 160. Ils y seront martyrisés, ainsi
que Félix, habitant de la ville, vers 177. Les reliques
des saints Andoche et Thyrse sont
conservées sur ce lieu et c’est probablement au 4e
siècle que la première église fut construite
pour vénérer ces reliques dans sa crypte. En
tout cas, un lieu de culte est mentionné au début
du 5e siècle par Amatre, évêque d’Auxerre.
Vers le 6e siècle, une abbaye bénédictine
y est installée, elle prospère au début du
8e siècle et reçoit d'importantes donations de terres
en 722 par Wildradus de Flavigny.
L’afflux de pèlerins qui viennent vénérer
les reliques commence à grandir. L’abbaye est dévastée
en 731 par les Sarrasins et c’est probablement au cours du
8e siècle qu’une importante église carolingienne
est construite pour remplacer l’église primitive détruite.
Selon la tradition c’est Charlemagne qui participe
à la reconstruction de l’abbaye. En 843, l’abbaye
devient possession de l’évêché d’Autun
par donation de Charles le Chauve. On sait qu’en
1080, l’église carolingienne est en très mauvais
état et c’est au cours du 12e siècle qu’elle
est reconstruite sous la direction d’Etienne de Bagé,
évêque d’Autun qui construisait
sa cathédrale à la même époque. C’est
l’église dont subsiste la nef. Un événement
important est la translation des reliques de saint
Andoche, le 21 décembre 1119, par le pape Calixte II.
Beaucoup d’auteurs confondent cet événement
avec la consécration de l’église, l’église
romane de Saulieu étant probablement postérieure à
cette date. L’église peut être datée de
1125-1130 pour le gros œuvre, achevée rapidement par
la construction de la façade ouest et les clochers. L’église
devient collégiale vers 1139, desservie
par un collège de chanoines séculiers.
Saulieu est pillée en 1359 ou 1360 par les Anglais pendant
la guerre de Cent ans et le chœur de la basilique est gravement
endommagé par le feu. Au 16e siècle, l’église
est à nouveau saccagée par les protestants pendant
les guerres de religion. Puis en 1692 et en 1734, les clochers furent
incendiés par la foudre et les flèches sont détruites.
On décide de démolir le chœur roman, tombé
en ruine depuis le 14e siècle, ainsi que le transept, en
1702. Sur leur emplacement le chœur actuel est construit vers
1704. Puis en 1760, le grand clocher de la façade, incendié
par la foudre, est fortement restauré. C’est de cette
époque que date le lourd dôme de plomb à lanternon
qui le couvre. L’église sera mutilée une fois
de plus pendant la Révolution, son portail est endommagé
(1789), elle deviendra Temple de la Raison et, plus tard, paroissiale,
en 1802. Une autre église paroissiale de la ville, Saint-Nicolas,
a été détruite au 19e siècle.
Après le classement Monument Historique de 1840, des restaurations
importantes sont effectuées; en 1834, en 1846-1852, et en
1869 quand la façade est reconstruite en sous-œuvre
et son portail nouvellement sculpté. L’église
Saint-Andoche est érigée au rang de Basilique mineure
le 10 novembre 1919, soit 800 ans après la translation des
reliques, par le pape Benoît XV. En 1966-1967, d'importantes
fouilles autour du chœur actuel ont montré les fondations
de l’église carolingienne ainsi que les fondations
du transept et du chœur de l’église romane montrant
le plan primitif assez inattendu pour une église inspirée
par Cluny. Après une importante restauration
terminée en 2006, qui a mis en valeur la nef romane, on peut
visiter dans toute sa gloire cette église merveilleuse bien
que très mutilée au cours des siècles.
Description
De loin, Saint-Andoche
se signale par les silhouettes de ses deux clochers. Quand on approche,
on trouve la basilique encastrée entre différents
bâtiments. On ne peut pas approcher le flanc sud de l’édifice.
Le flanc nord et le chevet ont été dégagés
: on y voit la haute nef romane qui s’ouvre sur quelques chapelles
latérales, et le chœur plus haut que la nef. Mais c’est
évidemment par la façade ouest qu’on
aborde Saint-Andoche de Saulieu, qui compose avec la fontaine de
1752, une très jolie vue. Cependant, cette façade
qui est dominée par deux tours de hauteurs inégales
a été profondément restaurée au 19e
siècle. Elle se compose de deux tours entre lesquelles se
trouve en retrait un fronton triangulaire avec trois hautes baies
en plein cintre. Le grand portail, souvent contesté,
a été entièrement refait en 1869 par le sculpteur
Creusot. On y trouve six colonnes, plusieurs chapiteaux
et un trumeau, le tout sans allure ancienne. Sur le tympan on voit
une sculpture assez médiocre du Christ en majesté
flanqué des symboles des Evangélistes et d’anges.
On dit souvent que ce tympan s’est inspiré de celui
du tympan du portail mutilé à la Révolution,
mais il semble plus probable que ce portail n’avait pas de
tympan sculpté. Cependant, quelques vestiges intéressants
du portail ancien sont conservés au musée de la ville.
Les deux tours sont décorées dans
les étages supérieurs d’arcatures à pilastres
et de modillons. Le clocher nord possède deux étages
décorés dont le premier est aveugle et est couvert
par un dôme du 18e siècle, alors que le clocher sud
se compose d’un seul étage de baies.
La façade se trouve encastrée entre les bâtiments
: à droite c’est la petite porte du corps de logis
qui est l’unique vestige des bâtiments du chapitre;
à gauche c’est l'ancien presbytère dans un hôtel
particulier à tourelle du 17e siècle qui est transformé
en musée (voir ci-dessous).
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Extérieur
et clochers de Saint-Andoche |
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Ensemble |
Façade |
Clochers |
Clocher nord |
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Clocher sud |
Clocher
sud |
Portail |
Porte de logis |
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Nef et clochers |
Chevet |
Arc sud |
Arc
nord |
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Entrons dans
la grande nef. On est saisi par la beauté,
la pureté et l’homogénéité de
l’ensemble qui s’est inspiré de Cluny
et, plus proche, de la cathédrale d’Autun.
La nef compte six travées voûtées d’un
berceau brisé sur doubleaux, flanquées de bas-côtés
voûtés d’arêtes sur doubleaux brisés
à double rouleau. L’élévation purement
clunisienne de la nef centrale est à trois étages
séparés par des bandes horizontales. Le premier étage
est celui des grandes arcades brisées, à double rouleau,
qui reposent sur les piliers cruciformes flanqués sur les
4 faces de colonnes engagées. On n’y trouve pas le
pilastre cannelé si fréquent à Autun,
ce qui donne plus de volume aux chapiteaux surmontant les colonnes
engagées. Dans le deuxième étage on trouve
le triforium, qui se compose dans chaque travée de quatre
arcatures aveugles entre simples pilastres, une composition qui
est très différente de celle d’Autun
ou encore de Cluny. L’étage
supérieur éclaire directement le sanctuaire par une
seule baie par travée. Au 18e siècle, le sol de l’église
a été rehaussé d’environ 1 mètre,
ce qui a enterré les piliers et endommagé les proportions
de cette élévation.
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Intérieur
de la nef |
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Ensemble |
Nef |
Elévation |
Triforium |
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Bas-côté
sud |
Bas-côté
sud |
Bas-côté
nord |
Bas-côté
nord |
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Voûtes |
Tribune d'orgue |
Portail sud |
Détail
du portail |
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On remarque que la première travée, qui est surmontée
par les deux tours, était autrefois un véritable narthex
avec chapelle haute dédiée à saint Michel,
comme à Cluny, à Tournus
ou à Vézelay. Cette ordonnance
architecturale est malheureusement détruite par la tribune
d’orgues, qui date du 15e siècle et porte l’orgue
peut-être trop frappant installé dans les années
1990.
Il ne faut pas manquer le petit portail sud, qui
faisait communiquer la nef et les bâtiments du chapitre, dans
la deuxième travée de la nef. Les décorations
extérieures aux pointes de diamant et billettes alternées
du portail roman sont très particulières, et le tympan
est orné d’un simple trilobe.
La nef est flanquée de cinq chapelles latérales,
deux au flanc nord et trois au flanc sud, datant des 15e et 16e
siècles. Les plus grandes ont été fondées
au 15e siècle par les évêques d’Autun
Ferry de Grancey au côté nord et Jean
Rolin au sud.
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La fuite en
Egypte et les chapiteaux du bas-côté sud |
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Apparition
du Christ |
Apparition
du Christ (détail) |
Pendaison de
Judas |
Fuite
en Egypte |
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Baiser impur |
Aigles |
Acanthes grotesques |
Combat de coqs |
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Têtes
de monstres |
Pastorale |
Chouettes |
Crosses de
fougères |
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Lacs d’Amour
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Fleurs |
Décor
végétal |
Décor
végétal |
Concentrons-nous maintenant sur les chapiteaux
des piliers de la nef qui sont les merveilles de Saint-Andoche de
Saulieu. On compte 55 chapiteaux romans, très bien conservés
et qui n’ont pas été restaurés excessivement.
Ces sculptures magnifiques conçues vers 1140 sont traitées
en méplat ou en haut-relief et se trouvent sur les piliers
de la nef et les colonnes engagées des bas-côtés.
Les plus importants sont les cinq scènes historiées
de l’ancien et du nouveau testament, racontant des scènes
de la vie du Christ. La plus célèbre est la Fuite
en Egypte, où on voit saint Joseph, la Vierge Marie,
Jésus et l’âne sur un décor de vigne.
C’est un thème qu’on trouve aussi à Autun,
comme c’est le cas pour les chapiteaux suivants très
intéressants : l’Apparition du Christ à
sainte Marie-Madeleine (parfois appellé “Noli
me tangere”) où on trouve les saintes femmes au
côté droit ; Balaam sur son ânesse,
qui est arrêté par un ange (on le retrouve également
à La Rochepot) ; la Pendaison
de Judas par le diable, d’un grand dramatique ; et la
Tentation du Christ (la Première tentation de Jésus
dans le désert, par le démon). L’expression
des personnages sur ces chapiteaux est admirable, la qualité
est incontestable. Beaucoup d’autres chapiteaux très
divers montrent un répertoire végétal d’une
grande variété, dont le chapiteau aux acanthes
grotesques (volutes aux masques humains), celui aux crosses
de fougères et celui aux feuilles de charme.
On trouve aussi acanthes, chardons, feuilles, lotus stylisés,
pins, arums, tiges perlées et palmettes. Un dernier groupe
de chapiteaux montre des scènes animalières ou fantastiques,
de rôle symbolique : le combat de coqs, le sagittaire
ou centaure archer (fresqué au 19e siècle),
le pet de l’ours, têtes de monstres,
une scène appelée “la pastorale”
avec un berger musicien et une tête d’ours, “le
penseur” entre deux oiseaux, le baiser impur de deux
monstres, le chapiteau des deux aigles, une louve,
trois chouettes et les colombes. Ce monde imaginaire
de flore et de faune montre la créativité des sculpteurs
de cet ensemble important. Douze autres chapiteaux se trouvent dans
les parties hautes de la nef, sous les voûtes, tous à
décor végétal à l'exception d'une tête
humaine entre deux mufles d’animaux au sud. Un autre
chapiteau avec monstre vomissant des feuillages est visible
de l'extérieur dans l'arc muré qui faisait communique
le bas-côté nord avec le transept disparu.
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Balaam arêté
par l'ange et les chapiteaux du bas-côté nord
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Balaam sur
son ânesse |
Tentation du
Christ |
Le Penseur |
Feuilles de
charme |
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Pet
de l’Ours |
Acanthes et
têtes |
Colombes |
Louve |
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Sagittaire |
Acanthes et
chardons |
Fleurs et fruits
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Palmettes et
fruits |
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Décor
végétal |
Décor
végétal |
Décor
végétal |
Monstre vomissant
(extérieur) |
On peut poursuivre
la visite par le chœur du début du
18e siècle qui remplace le transept et le choeur de l’église
romane et qui n’est intéressant que par ses stalles
sculptées du 14e siècle où on retrouve certains
thèmes des chapiteaux de la nef. Les fouilles
de 1966-1967 nous ont montré les fondations du transept et
du chœur roman. Le transept peu saillant se trouvait sur l’emplacement
du choeur actuel. Les arcades brisées qui faisaient communiquer
le transept et les bas-côtés sont encore visibles de
l’extérieur. Le transept était prolongé
par un chœur qui se composait de deux travées et d’un
chevet plat. On est surpris par cette construction d’une simplicité
inusitée dans un édifice clunisien, sans le déambulatoire
de Cluny ou de Paray,
même sans les absides d’Autun,
et qui pourrait remonter à un état gothique. On ignore
l’élévation et le voûtement de la partie
transept-chœur et l’existence d’un clocher sur
la croisée du transept.
Sous le choeur
de l’église se trouvent les vestiges d’une crypte
intéressante mais inaccessible au visiteur. Il s’agit
peut-être de vestiges de l’église carolingienne
du 8e siècle. La crypte est divisée en deux parties,
avec une rotonde située sous l’abside, d'authenticité
douteuse, prolongeant un espace rectangulaire. On sait peu de cet
ensemble qui pourrait compter parmi les rares vestiges carolingiens
de la Bourgogne. C’est difficile de comparer cette crypte
avec les cryptes de Saint-Germain d’Auxerre
et de Flavigny ou avec la rotonde de
Saint-Bénigne de Dijon.
Avant de quitter
la basilique il faut admirer le tombeau de Saint-Andoche
sous l’autel du choeur, qui se trouvait à l’origine
dans la crypte et contenait les reliques de saints. Il date de l’époque
paléochrétienne, mais a été lourdement
restauré au 19e siècle après avoir été
vendu et brisé en 1802. Le sarcophage antique du 4e siècle
en marbre blanc est décoré de plusieurs fragments
mérovingiens avec sculptures en méplat aux symboles
et ornements païens et chrétiens.
Le
tombeau de Saint-Andoche :
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Tombeau |
Détail |
Détail |
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Finalement,
la visite de Saint-Andoche pourra être complétée
par la visite du Musée François Pompon
qui se trouve dans l’ancien presbytère, à côté
de la basilique. Une salle y est consacrée à l’art
religieux, une autre à l’histoire de Saulieu. On y
trouve des stèles gallo-romaines et plusieurs fragments provenant
de la basilique : quelques vestiges du portail ouest, un morceau
de charpente et un fragment de pavement provenant de l’ancien
choeur roman, ainsi que les moulages des marques de tâcherons.
Le trésor du petit musée est le célèbre
Evangéliare de Charlemagne avec ses plaques
d’ivoire qui datent du 6e ou du 7e siècle, son manuscrit
du 12e siècle et ses feuilles d’argent du 14e siècle.
Admirons aussi la Vierge noire à l'enfant en
bois polychrome de la fin du 12e siècle, provenant de l'ancienne
chapelle du Château de Conforgien, et d'autres statues
médiévales. Enfin, les amateurs du sculpteur moderne
Pompon y trouvent plusieurs de ses œuvres.
Le musée
Pompon :
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Presbytère |
Evangéliaire |
Vierge noire |
Stèles
gallo-romaines |
Visite
La basilique
se visite du mardi au samedi de 9h00 à 12h00 et de 13h30
à 18h30, le dimanche de 14h00 à 18h30. Elle est fermée
le lundi. De la Toussaint à Pâques, les temps d’ouvertures
sont plus restreints. Une visite guidée est possible le samedi
à 10h00 et à 16h00.
Le Musée
Pompon est fermé le mardi et le lundi après-midi.
Pour en savoir
plus sur Saulieu, vous pouvez visiter les sites Internet suivants
:
Site de la ville : http://www.saulieu.fr/.
Site sur Saulieu : http://saulieu.chez-alice.fr/.
Page romanes.com : http://www.romanes.com/Saulieu/.
Page art-roman.net : http://www.art-roman.net/saulieu/saulieu.htm.
Page Bourgogne médiévale : http://bourgognemedievale.com/departement-et-pays/cote-dor/pays-auxois-morvan-cote-dorient/saulieu/.
Page atlas roman : https://atlas-roman.blogspot.com/2020/11/saulieu-basilique-saint-andoche.html.
Page art roman france : https://sites.google.com/site/artromanfrance/bourgogne/saulieu-basilique-saint-andoche.
Page sacred destinations : http://www.sacred-destinations.com/france/saulieu-church.
Page petit patrimoine : http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=21584_23.
Page wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Basilique_Saint-Andoche_de_Saulieu.
Page structurae : http://structurae.net/structures/saint-andoche-basilica.
Page de photos sur le blog de Philippe Pissier : http://philippepissier.canalblog.com/archives/basilique_saint_andoche__saulieu_/index.html.
Page de photos sur un site étranger : http://homepage2.nifty.com/izmreise/France/Romanesque/Saulieu/saulieu01.htm.
Page de blog allemand : http://romanische-schaetze.blogspot.com/2015/09/frankreich-saulieu-cote-dor-basilika.html.
Remerciements
: les photos des chapiteaux sont en partie de atlas
roman.
Vous pouvez
également consulter les références suivantes
:
- Dupont J.,
Basilique Saint-Andoche, Saulieu, Gaud, 1984.
- Horst-Arriens K.A. ter, Saulieu, Basilique St-Andoche,
Vrij geestesleven, 1980.
- Meurisse P. et Hablizig Y., Basilique Saint-Andoche,
Impr. du Bugey.
- Oursel R., Bourgogne Romane, Zodiaque, La Nuit des temps
1.
- Rozerot M., Saulieu et son canton, Editions Alan Sutton,
2007.
- Sapin C., Arnaud C. et Berry W., Bourgogne Romane, Dijon,
2006.
- Tartat P., Etudes d'Archeologue et d'Art Moderne en Bourgogne.
Les Eglises Saint-Lazare d'Avallon et Saint-Andoche de Saulieu -
Les Stalles de Bar-le-Regulier - Le Grand Animalier Fr. Pompon,
1955.
- Terret V., Saulieu et la Collégiale St-Andoche.
- Thibaud R.-J., L'art initiatique roman Saulieu, L'arbre
de Jesse, 1996.
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