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Mâcon
Edifice |
Le
Vieux Saint-Vincent, ancienne cathédrale Saint-Vincent, |
Situation |
Centre
ville, 71000 (Saône-et-Loire) |
Parties
Romanes |
Massif
occidental, deux clochers, narthex |
Décoration |
Tympan,
chapiteaux, arcatures, pilastres cannelés, bandes lombardes,
fresques, sculptures déposées |
Datation |
Début
du 11e siècle (massif occidental et clochers) et début
du 12e siècle (narthex et portail) |
Introduction
- Historique - Description
- Visite
Introduction
Mâcon
est la préfecture de la Saône-et-Loire, située
dans le sud-est du département, au bord de la Saône.
C'est une ville provinciale intéressante, sans avoir l'attrait
des autres préfectures de la Bourgogne. La ville s’est
développée autour d'un évêché
fondé au 6e siècle, époque de construction
de la première cathédrale. L’édifice
a été incendié et reconstruit plusieurs fois
du 7e au 10e siècle. Une grande reconstruction est menée
sous l'évêque Gauzlin au début du 11e siècle.
C’était une cathédrale romane, sur plan cruciforme
et avec une crypte étendue, en grande partie contemporaine
de Saint-Philibert de Tournus. Après
les ravages par les protestants au 16e siècle, l’église
est presque entièrement démolie après la Révolution,
et on peut regretter qu’il n’en reste que des vestiges.
Ces parties subsistantes, dit le Vieux-Saint-Vincent, sont
cependant intéressantes. Il s’agit d'une travée
surmontée de deux clochers, dominant les quais de la ville,
et d'un narthex construit devant la façade. Les parties les
plus anciennes sont alors les deux clochers octogonaux de l’ancien
massif occidental du début du 11e siècle, monument
remarquable avec chapelle haute à l’étage et
décor à bandes lombardes, caractéristiques
propres à l'art roman bourguignon. Avec les cathédrales
de Nevers et Auxerre,
c’est un témoin précieux de l’architecture
d’une cathédrale du 11e siècle en Bourgogne.
Les parties
supérieures des clochers sont de l'époque gothique.
Un grand vide est laissé par la nef détruite, de laquelle
restent quelques vestiges gothiques. De l’autre côté
de la travée des clochers, on trouve un narthex roman ajouté
au début du 12e siècle. Ceci présente une architecture
soignée montrant l’évolution de l'art roman
pendant plus d’un siècle, avec ses voûtes, ses
arcades, ses colonnes, ses pilastres cannelés, ses chapiteaux
sculptés et ses bases décorées. Son grand portail
intérieur est un chef-d'œuvre très mutilé
: son tympan montre le Jugement Dernier sur cinq registres superposés,
avec la mandorle centrale vide dont le Christ de l’Ascension
a été détruit. Le style du portail et des sculptures
du narthex s’inspire de l'art de Cluny,
de Charlieu, de Perrecy
et plus directement de l’autel d’Avenas.
A l'intérieur est aménagé un petit musée
lapidaire conservant des sculptures anciennes et une fresque murale
du Jugement Dernier. D'autres sculptures romanes provenant de la
cathédrale sont présentées dans le Musée
des Ursulines.
Historique
La cathédrale
de Mâcon serait bâtie à l’emplacement d’un
temple antique près du port de Matisco. Un premier
oratoire, dédié à Saint-Barthélémy,
y aurait déjà existé au 4e siècle. L’évêché,
dépendant de l’archevêché de Lyon,
fut probablement fondé en 536 par le roi Childebert.
Son premier évêque était saint Placide
et la première cathédrale était dédiée
à Saint-Gervais-et-Saint-Protais.
Elevée au 6e siècle, elle était flanquée
d’un cloître et peut-être d’un baptistère.
En 543, Childebert apporta les reliques de saint Vincent depuis
Saragosse en Espagne. La cathédrale fut alors dédiée
à Saint-Vincent. Un concile aura lieu à Mâcon
en 585. La cathédrale fut reconstruite aux 7e et 8e siècles
et fut incendiée à plusieurs reprises : par les arabes
en 731, par le feu en 742, par Lothaire en 834 et par les Hongrois
en 937. L’évêque Mainbod entreprend
des reconstructions au milieu du 10e siècle, mais l’église
à nouveau fut gravement incendiée par le feu en 960.
Elle est relevée vers 980, à l’époque
de Cluny II, sous l’épiscopat
de Liébaud de Brancion,
puis au début du 11e siècle par l'évêque
Gauzlin de Vienne (1019-1030). La cathédrale romane
avait une nef voûtée et une grande crypte avec de nombreuses
colonnes comparables à celles de la crypte de Saint-Bénigne
de Dijon. Le narthex fut ajouté au
début du 12e siècle par l'évêque Bérard
de Châtillon (1097-1124). Le chapitre comptait alors
vingt chanoines dont le cloître se trouvait au sud de l’église.
En 1180, Philippe-Auguste autorise la fortification du bourg épiscopal
et une enceinte s’élève autour du palais épiscopal
et des bâtiments formant le quartier ecclésiastique.
Il y avait quatre portes et une large tour fortifiée, la
Boucarde. La cathédrale fut reconstruite au 13e siècle,
à partir de 1240, en style gothique. Une grande nef, un transept
et un chœur profond à chevet plat se greffent alors
contre le massif occidental roman conservé, dont les clochers
ont été rehaussés.
L’histoire de la cathédrale a été moins
heureuse après le Moyen-âge. Les protestants entament
des ravages en 1567 pendant les guerres de Religion. L’évêque
Gaspard Dinet entreprend la restauration au début
du 17e siècle (clochers, pavement, mobilier), mais en 1725
l’église était toujours en mauvais état.
La Révolution de 1789 marque la fin de l’évêché
de Mâcon. Ses bâtiments sont détruits : le cloître
en 1791, puis les portes fortifiées de l’enceinte.
Une passerelle de bois reliant les deux tours fut détruite
en 1792. La cathédrale, devenue Temple de la Raison en 1793,
fut vendue et démolie en 1799. Seul le massif occidental
et le narthex échappent à la destruction. Le monument
est restauré vers 1850 (clochers, tympan) et en 1855 (sculptures,
baies, murs). A cette époque, les derniers vestiges de l’église
gothique ont été démolis et le quartier fut
entièrement remodelé. La cathédrale fut classée
Monument Historique en 1862. Elle fut restaurée en 1973 (démontage
des arcades de l’ancien cloître remonté devant
l’église) et 1986 (vitrage du grand arc oriental).
Le monument abrite actuellement un Musée lapidaire.
Description
Le massif occidental
et le narthex sont les seules parties conservées du Vieux
Saint-Vincent. Il s’agit des parties les plus anciennes de
la cathédrale médiévale, dont le vaisseau gothique
fut entièrement détruit. Le massif occidental, comprenant
une travée avec deux clochers et chapelle haute, fut construit
au début du 11e siècle, vers 1020-1030, dans le style
roman lombard. Le narthex du début du 12e siècle,
construit vers 1100-1120, montre l’influence des sculptures
de Charlieu et de Cluny
III. Quelques parties gothiques sont encore à voir :
murs de la première travée de la nef, parties supérieures
des clochers, portail ouest de la fin du 15e siècle. Quelques
vestiges de l’ancienne crypte, comprenant un mur en opus
spicatum, ont été découverts dans les
caves d’une maison au sud de l’église. La préfecture
moderne, occupant l’emplacement de l’ancien palais épiscopal,
abrite les archives départementales.
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Maquette de
l'église avant sa destruction |
Le massif
occidental est la haute travée des deux clochers.
C’était l’ancienne entrée de la cathédrale
de Gauzlin de Vienne. Son architecture, avec chapelle haute et deux
clochers octogonaux, se trouve dans la tradition carolingienne et
ottonienne germanique. La travée centrale, restaurée,
conserve une voûte d’arêtes entre des arcs plein
cintre. Des vestiges de fresques du 12e siècle
ou du début du 13e siècle y sont visibles dans les
arcs nord et sud. Restaurées au 19e siècle, elles
appartiennent au thème du Jugement Dernier. Au sud, c’est
l’enfer, avec des anges sonnant de l'olifant pour la Résurrection
des morts. Au nord, c’est le paradis, avec la Résurrection
des élus entrant au paradis. Une chapelle haute,
dite Sainte-Marie de la Porte, se trouve en-dessus, entre les clochers.
Elle conserve encore une voûte en berceau transversal et des
arcatures murales.
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Bandes lombardes
du massif occidental |
Le massif occidental
et les clochers:
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Base
des tours |
Clochers |
Tour sud |
Tour nord |
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Entrée |
Fresque :
élus au paradis |
Fresque : anges
sonnant de l'olifant |
Les murs extérieurs
sont entièrement décorés de bandes
lombardes, également visibles sur le mur ouest à
l’intérieur du narthex. La façade originale
du 11e siècle était sans doute impressionnante, comme
celle de Tournus. Les arcatures s’élèvent sur
deux étages et deux autres étages décoraient
les parties octogonales des clochers. Les clochers
octogonaux portaient deux étages supérieurs ajourés
de baies géminées sur colonnettes, actuellement bouchées,
mais encore visibles à l’intérieur. La tour
sud conserve un grand escalier à vis du 11e siècle,
utilisé pour accéder à la chapelle haute. Les
parties hautes des clochers sont gothiques : le clocher nord a une
flèche tronquée du 14e siècle, le clocher sud
porte les vestiges d’un beffroi disparu du 15e siècle.
Ils sont décorés de gargouilles et de simples baies.
A l’extérieur, à l’est du massif occidental,
on trouve quelques arrachements des premières travées
de la nef gothique disparue. Les murs nord et sud
conservent des arcatures aveugles et une baie murée au nord.
De l’autre côté du narthex, le portail
ouest de la façade est de la fin du 15e siècle. Actuellement
murés, son trumeau et ses piédroits portaient des
statues. Le fronton triangulaire surmontant le portail date de 1857.
Extérieur
de l'église :
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Façade |
Pignon |
Portail ouest |
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Travée
de nef |
Arcatures |
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Le narthex
fut construit devant la façade de la cathédrale romane
dans un style roman nouveau, celui du début du 12e siècle.
Il se compose d’une seule travée avec collatéraux.
Les voûtes sont en berceau brisé à pénétrations
profondes, sauf celle de la travée centrale revoûtée
en ogive vers 1220. Le décor gothique de cette partie se
remarque sur la clef de voûte portant un animal fantastique
entre quatre têtes, et sur les chapiteaux des quatre colonnettes.
Les autres parties du narthex sont romanes. Deux arcs brisés
aux décors d’oves, retombant sur des colonnes engagées
rehaussées, supportent les voûtes. Les murs du narthex
sont ouverts par des arcades vitrées à l’ouest
et au nord. Leurs arcs à double rouleau sont portés
par des colonnes engagées et par des colonnettes plus petites.
A l’intérieur, les arcades latérales sont portées
par des pilastres cannelés. Le narthex du Vieux Saint-Vincent
abrite un petit Musée lapidaire présentant
des sculptures, des sarcophages, des arcatures gothiques et aussi
des plans et maquettes de la cathédrale.
Le narthex :
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Intérieur |
Arcs |
Arcatures |
Ogive |
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Arcades |
Arcade |
Colonnes |
Les chapiteaux
romans des arcades du narthex, sculptés en calcaire ocre,
présentent un décor végétal recherché.
Les feuillages de style corinthien et les fleurs stylisées
sont apparentés à Charlieu.
Un seul personnage accroupi y se cache entre les bouquets. Les bases
de colonnes présentent un décor de bagues
ornées de motifs végétaux en torsades, palmettes
ou rosaces et un personnage monstrueux à l’extérieur.
Chapiteaux du
narthex :
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Chapiteau |
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Personnage |
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Chapiteaux |
Chapiteaux |
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Base de colonne |
Le grand portail
du narthex est l’élément le plus remarquable
de la cathédrale. Sculpté au début du 12e siècle,
peut-être vers 1110-1120, il fut endommagé dans les
guerres de Religion et il disparait derrière
le plâtre au 17e siècle. Redécouvert au milieu
du 19e siècle, son tympan très mutilé fut restauré.
Cette œuvre, très originale, est l’un des plus
anciens et plus grands tympans romans de la Bourgogne. Son style,
influencé par Cluny et le Brionnais,
mais aussi par l’école du Midi, est proche de l’autel
d’Avenas, qui pourrait être
de la même main. La structure du tympan,
se composant de plusieurs arcs et blocs de pierres, est unique.
Sa partie inférieure est échancrée, probablement
pour le passage des croix de processions. La partie semi-circulaire
au centre, partie la plus ancienne, représentait l’Ascension.
Sa mandorle est vide, son Christ est détruit. Elle est entourée
de la Vierge et de Saint Jean, de deux anges et de deux séraphins
aux quatre ailes. Cette partie centrale est entourée de cinq
registres sculptés représentant cette fois le Jugement
Dernier. Le style en est différent et d’une
qualité assez médiocre. Les registres sont séparés
par des moulures horizontales. Le premier montre les élus,
à gauche, accueillis par le Christ dans la Jérusalem
Céleste ; et les damnés, à droite, avec le
diable et l’ange justice tourné vers l'Enfer. Sur le
deuxième registre, la Résurrection des morts montre
les morts implorants sortant de leurs sarcophages. Le troisième
registre présente 24 personnages auréolés identifiés
comme les Vieillards de l’Apocalypse. Cependant, il se compose
de trois blocs de pierres hétérogènes, dont
celui au centre pourrait être un linteau aux douze apôtres
du tympan primitif qu’il soutient. Les quatrième et
cinquième registres entourent la scène de l’Ascension.
On y retrouve les apôtres, le paradis avec des personnages
sur des nuages et la main de Dieu (mutilée). Le tympan porte
des traces de polychromie. Il est entouré d’une archivolte
à feuillage torsadé retombant sur deux colonnes aux
bases décorées. Il y a quatre chapiteaux
sculptés, dont la conception évoque Perrecy.
Sur le jambage gauche du portail, un ange portant un bouclier (Michel
ou Gabriel) refoule le diable. A droite, deux chapiteaux mutilés
évoquent la Tentation du Christ ou le Christ arrêtant
le Démon. L’autre chapiteau est sculpté de feuillages.
Le portail :
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Tympan |
Registres |
Détail |
Détail |
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Mandorle |
Chapiteau |
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A Mâcon,
on peut ensuite visiter le Musée des Ursulines,
dans l’ancien couvent des Ursulines du 17e siècle.
Dans le secteur archéologique sont exposés des sculptures
romanes et gothiques provenant de la ville et de la région.
On y trouve des sculptures intéressantes de l’art roman
du 12e siècle, provenant de la cathédrale et marquant
une influence des chapiteaux de Tournus.
Il y a un beau pilastre d’un apôtre assis dans une niche,
deux chapiteaux historiés de la Résurrection de Lazare
et de la Sacrifice d'Isaac, et d’autres chapiteaux et bases
de colonnes sculptés de feuillages, de pommes de pin et de
palmettes. Des reliefs sculptés provenant de la cathédrale
du 10e siècle, découverts pendant la construction
des Halles en 1856, décorés d’entrelacs et de
fleurons, sont de fragments de plaques de chancel de style carolingien.
On y conserve également des pièces de jeu d’échec
en bois de cervide du 10e ou 11e siècle provenant de la motte
castrale de Loisy.
Sculptures du
musée:
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Reliefs de
plaques de chancel |
Pièces
de jeu d’échec de Loisy |
Pièce
de jeu d’échec de Loisy |
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Pilastre d'apôtre
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Résurrection
de Lazare |
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Sacrifice d'Isaac
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Chapiteau de
palmettes |
Chapiteau de pommes de pin
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Egalement à
Mâcon, dans le faubourg, au sud-ouest de la ville, se trouve
l'ancienne église Saint-Clément. Sous un édifice
banal du 19e siècle des campagnes de fouilles de 1985-1992
ont trouvé les substructions d'une basilique funéraire
mérovingienne du 6e siècle, lieu d’inhumation
des premiers évêques de la ville, et des reconstructions
de l'église paroissiale du 9e au 11e siècle. Le résultat
est un site archéologique montrant les fondations des églises
successives et des absides romanes et plusieurs sarcophages d'un
cimetière très ancien. Dans la commune de Mâcon,
il y a également l'église du village de Loché
avec son beau clocher octogonal.
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Site archéologique
de Saint-Clément |
Visite
La visite du
narthex de la cathédrale est libre. Ouverture du 1er Juin
au 30 septembre, tous les jours sauf lundi et dimanche matin, de
10h à 12h et de 14h à 18h. La visite du Musée
des Ursulines, ayant les mêmes horaires, est payante.
Pour en savoir
plus sur Mâcon, vous pouvez visiter les sites Internet suivants:
Le site de
l’Office de Tourisme sur la ville et les environs: http://www.macon-tourism.com/.
Site
de la ville : http://www.macon.fr/.
Page Petit Patrimoine : http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=71270_2.
Page Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Vieux-Saint-Vincent_de_M%C3%A2con.
Page Sortir à Mâcon : http://www.sortiramacon.com/actualites/tourisme-oeno-tourisme/2012/07/22/cathedrale-Vieux-Saint-Vincent-Macon/.
Site de la paroisse : http://macon.paroisse.net/macon/.
Remerciements
: les photos de la page sont de Cees
van Halderen et de Thierry Cornier.
Vous pouvez
également consulter les références suivantes
:
- Angheben
M., L'iconographie du portail de l'ancienne cathédrale
de Mâcon : une vision synchronique du jugement individuel
et du jugement dernier, Les Cahiers de Saint-Michel de Cuxa,
2001.
- Cavell L.J., Social and Symbolic Functions of the Romanesque
Facade: the Example of Mâcon's Last Judgment Galillee, University
of Michigan, 1997.
- Decloître
L., Les véritables dimensions de la cathédrale
Saint-Vincent de Mâcon, Annales de l’Academie de
Mâcon, 1940-1941.
- Garmier J.-F., Les Monuments de Mâcon, Le Vieux Saint-Vincent,
Mâcon, 1988.
- Goujon P., Histoire de Mâcon, Toulouse, 2000.
- Lex
L., A travers Mâcon. Ses rues - Ses monuments, Société
des Amis des Arts, 1913.
- Magnien E., Histoire de Mâcon et du Mâconnais,
Les Amis du musée de Mâcon, 1971.
- Magnien E., Les églises romanes de la Bourgogne du
Sud, Mâcon, 1979.
- Morgand A., Les dernières années de l’ancienne
cathédrale Saint-Vincent de Mâcon, Annales de
l’Academie de Mâcon, 1935.
- Nicolas H., Eglises Romanes du Mâconnais, La Taillanderie,
1997.
- Rameau B., Notes historiques et archéologiques sur
l’ancienne église cathédrale de Mâcon,
Bourg-en-Bresse, 1880-1881.
- Rameau B., Notes sur trois tombeaux de l’ancienne cathédrale
Saint-Vincent de Mâcon, Annales de l’Academie de
Mâcon, 1898.
- Rebuffet
B., Les grandes heures des églises de Mâcon,
1974.
- Sapin C., Arnaud C. et Berry W., Bourgogne Romane, Dijon,
2006.
- Surigny A. De, Notice sur deux peintures murales, de l'église
cathédrale de Saint Vincent à Mâcon, Chalon,
ca. 1850.
- Surigny
A. De, Les peintures murales de l’église Saint-Vincent
de Mâcon, Mémoires de la Société
d’Histoire et d’Archéologie de Chalon, 1850.
- Virey J., Les Eglises Romanes de l’Ancien Diocèse
de Macon, Cluny et sa région, Mâcon, 1935.
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