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Perrecy-les-Forges
Edifice |
Eglise
Saint-Pierre-et-Saint-Benoît, ancienne priorale |
Situation |
Centre
bourg, 71420 (Saône-et-Loire) |
Parties
Romanes |
Narthex,
nef, transept, clochers, vestiges du chœur, tours du
prieuré |
Décoration |
Portail
et tympan du narthex, chapiteaux, bases de colonnes, arcatures,
baies à colonnettes du clocher |
Datation |
1020-1030
(nef et transept) et 1120-1130 (narthex) |
Introduction
- Historique - Description
- Visite
Introduction
Perrecy se
situe au centre du circuit des églises romanes du Charolais,
à la limite du Brionnais et
de l’Autunois, et possède l’une des plus belles
églises du département Saône-et-Loire.
C’était l’église d’un prieuré
bénédictin fondé à la fin du 9e siècle
et dépendant de la grande abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire
(Loiret). Elle se compose de plusieurs parties distinctes, d’époques
différentes, mais formant un ensemble harmonieux. La partie
la plus ancienne date de la première moitié du 11e
siècle et est d’architecture ottonienne. Il s’agit
d’abord de la nef, d’origine plafonnée, qui a
perdu l’un des bas-côtés, mais conserve ses grandes
arcades et ses fenêtres hautes du côté sud. Puis
le transept, dont le croisillon sud est mutilé et celui du
nord est renforcé à la fin du 11e siècle. La
croisée du transept est très belle avec ses arcs diaphragmes
aux arcatures géminées à chapiteaux et sa coupole-lanterne.
Enfin, le chœur à deux travées est du 11e siècle
au niveau des bas-côtés et des amorces des absidioles.
L’abside reconstruite au 15e siècle était flanquée
de 4 absidioles échelonnées, comme à Cluny
II ou en l’église de Bourbon-Lancy,
qui a beaucoup de points communs
avec celle de Perrecy.
Le joyau de l’église est
le merveilleux narthex qui fut ajouté au début du
12e siècle du côté ouest. Il se compose de deux
étages à trois nefs de deux travées, et montre
une structure d’un art roman parfait, préfigurant le
narthex de Vézelay. Le tout est
dominé par un haut clocher carré rappelant le style
du Brionnais avec ses archivoltes,
ses pilastres cannelés et ses colonnettes. La sculpture du
narthex se classe parmi les meilleurs ensembles de la Bourgogne
du sud : on y trouve
des bases de colonnes décorées de fleurs et un bon
nombre de chapiteaux d'une très bonne qualité dont
deux éléphants affrontés et la luxure punie.
L’élément le plus intéressant est le
portail du narthex dont le tympan au Christ en gloire entre deux
anges est parmi les plus anciens registres sculptés de la
Bourgogne. Le linteau, un peu postérieur et très peuplé,
montre des scènes étranges de la Passion du Christ.
Les chapiteaux et corbeaux du portail montrent d’autres scènes
historiées d’un bel effet.
De l’ancien prieuré restent la maison du Prieur et
deux tours d’époque romane. On peut également
reconnaître les vestiges du cloître au flanc sud de
l'église.
Historique
Perrecy occupe
probablement l’emplacement d’un site gallo-romain. Domaine
de l’évêque de Bourges
pendant le Haut Moyen-Age, les terres passent à Charles
Martel vers 730. Il les donne à son demi-frère
Childebrand en 736 après une victoire contre les
Sarrazins. Un siècle plus tard, pendant les années
830, une chapelle dédiée à Saint-Pierre est
mentionnée à Perrecy. Elle deviendra église
paroissiale plus tard. En 836, la possession des terres par Eccard
II est confirmée par Pépin II. Eccard,
devenu comte de Chalon et de Mâcon
en 860, cède les terres avec la chapelle à la grande
abbaye de Fleury à Saint-Benoît-sur-Loire
en 876, peu de temps avant son décès. Un prieuré
bénédictin y est alors fondé à la fin
du 9e siècle (peut-être déjà vers 885,
attesté en 908) et une église dédiée
à Notre-Dame-et-Saint-Benoît fut construite à
cette époque. Au 10e siècle, le monastère se
développe et Perrecy devient un prieuré très
important de Saint-Benoît. Les bâtiments sont reconstruits
au début du 11e siècle par Raoul, fidèle
de Gauzlin, abbé de Fleury. L’église
romane fut élevée à cette époque. Le
grand narthex fut ajouté au début du siècle
suivant. C’est la grande époque de Perrecy, le monastère
prospérant compte 20 moines au 13e siècle. Il passe
sous le régime de la commende en 1476. L’église
est remaniée au cours des 15e et 16e siècles. Au début
du 17e siècle, de nouveaux moines arrivent à Perrecy
où les Forges sont fondées en 1634. Louis XIV
donne le monastère à Louis Berryer en 1693.
Les liens avec Saint-Benoit-sur-Loire sont coupés en 1724.
La décadence commence en 1733 quand le prieur de Perrecy
est emprisonné. Le prieuré fut enfin supprimé
vers 1780 par Louis XVI. Les bâtiments et le cloître
du prieuré sont détruits en 1782-1790 et l’église
devient paroissiale en 1784. L’église paroissiale Saint-Pierre
dans le bourg fut détruite en 1790. Le croisillon sud et
le clocher du transept de l’ancienne priorale sont démolis
pendant la période révolutionnaire. L’église
est remaniée vers 1840, quand le sol fut rehaussé
et qu’une voûte en plâtre vint couvrir la nef.
Classées Monument Historique en 1862, l’église
et sa façade seront restaurées par Selmersheim
à la fin du 19e siècle. L’église devient
propriété communale en 1905. D’autres restaurations
interviennent en 1938 (consolidation des piles de la croisée)
et en 1958-1973 (toitures et charpente). L’église,
en mauvais état par la poussée des charpentes sur
les murs de la nef, a été fermée en avril 2009.
Elle vient d’être restaurée en plusieurs tranches
sous la direction de Frédéric Didier et la
réouverture a été célébrée
en 2014.
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Gravure de G. Chavron
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Gravure de l'ancien
prieuré vers 1790 |
Description
L’église
est toujours en majeure partie romane malgré l’histoire
mouvementée de sa construction. Son plan
allongé est orienté vers le sud-est. Le gros-œuvre,
datant des années 1020-1030, se composait à l’origine
d’une nef à bas-côtés, d’un transept
saillant avec une coupole-lanterne élevée et d’un
chœur de plan bénédictin avec une abside entre
deux paires d’absidioles échelonnées. Le grand
narthex de deux étages avec clocher a été ajouté
du côté ouest pendant une deuxième phase romane
vers 1120-1130. Jamais achevé, il faisait peut-être
partie d’un grand projet de reconstruction totale de l’église.
Le corps roman encore debout a été plusieurs fois
remanié et amputé. A la fin du 15e siècle,
le chœur et l’abside ont été reconstruits
en style flamboyant. Le bas-côté nord de la nef a été
détruit au 16e siècle quand la nef fut fermée
par le mur nord actuel. Le croisillon sud et le clocher de la croisée
sont rasés à la fin du 18e siècle et ne seront
jamais reconstruits. Il reste alors de l’église primitive
la partie sud de la nef, la croisée, le croisillon nord du
transept et les bases du chœur roman. De l’extérieur
de l’édifice, on remarque toutes ces parties hétérogènes
de l’édifice : les baies gothiques sur le mur nord
de la nef, le seul bas-côté au sud avec des contreforts
modernes, le clocher octogonal tronqué de la croisée,
le transept dont seul le bras nord est débordant et le chevet
gothique avec ses baies flamboyantes.
Extérieur
de l'église :
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Narthex |
Flanc
nord |
Flanc sud |
Chœur |
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Chevet |
Abside |
Tour lanterne |
Transept |
Le merveilleux
narthex a été très bien conservé.
Il fut ajouté au début du 12e siècle, probablement
vers 1120-1130, contre l’ancienne façade de l’église
du 11e siècle. C’est une construction élégante
et solide, qui se classe parmi les meilleurs exemples de porches
romans de la Bourgogne. Contemporain de celui de Mâcon,
il préfigure le grand narthex de Vézelay
avec ses deux étages voûtés. Il se compose de
deux travées avec bas-côtés dont le premier
est plus court. Le second héberge un haut espace carré
devant le portail, couronné par une voûte d’arêtes
et par quatre séries de triplets d’arcatures sur colonnettes.
Les tribunes en U, avec cinq compartiments voûtés en
berceaux transversaux, entourent cet espace central sur les trois
côtés. Les parties basses sont voûtées
en arêtes dans la première travée et en berceaux
transversaux à pénétrations dans la deuxième
travée. Les arcs doubleaux à doubles rouleaux des
voûtes retombent sur deux piliers cruciformes avec colonnes
engagées, au centre, et sur six colonnes engagées
sur les murs latéraux. L’entrée au rez-de-chaussée
se fait par quatre arcades aux voussures décorées,
dont trois se situent dans la façade ouest et l’autre
fait office d’entrée actuelle au nord. La haute façade
s’élève sur trois étages, avec un pignon
au centre, l’emplacement d’un clocher prévu et
jamais construit au sud, et le grand clocher roman
au nord. Bien restauré, le clocher présente deux étages
de trois baies au décor de colonnettes et de pilastres cannelés
à chapiteaux, au-dessus d’un étage d’arcatures
aveugles. Il reprend le style des clochers élaborés
du Brionnais. Les vestiges d’un
troisième étage du narthex, une chapelle haute avec
des arcatures sur pilastres au nord, ont été récemment
découverts au niveau des combles. Cette partie haute du narthex
date du milieu du 12e siècle. La grandeur de la structure
prévue, inachevée, témoigne peut-être
d’une campagne de reconstruction de l’église
dans son entier. La tourelle ronde au nord serait encore du 11e
siècle. Visitez enfin le petit musée Histoire
de clochers aménagé dans le narthex.
Le narthex et
son clocher :
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Façade |
Flanc nord |
Clocher |
Tours |
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Baies
du clocher |
Arcades |
Porte nord |
Piliers |
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Arcades |
Pilier |
Partie centrale |
Arcature |
Le décor
sculpté du narthex est d’une grande qualité.
Le portail entre le narthex et la nef centrale
en est le chef-d’œuvre. Sous un arc en plein cintre y
sont sculptées des scènes racontant la vie du Christ,
dont le style marque une étape importante entre les sculptures
du Brionnais et le grand art de Cluny.
Le portail date de la fin du 11e siècle ou du début
du 12e siècle, mais le linteau avec ses deux registres débordants
est plus tardif. Le tympan montre le Christ en
Gloire, levant la main droite et portant un livre dans sa main gauche.
La mandorle est portée par deux anges séraphins à
trois paires d’ailes ocellées, dont la conception est
remarquable. Le grand linteau en calcaire blanc,
daté des années 1125, montre des liens étroits
avec le portail de Montceaux-l’Etoile
et le portail de la Nativité de Vézelay.
Il compte cinq scènes de la Passion du Christ. Sur le registre
surmontant le chapiteau à gauche c’est la dernière
rencontre de Jésus et ses disciples endormis ou l’agonie
du Gethsémani. Sur le registre central, de gauche à
droite, on remarque le baiser de Judas, l’arrestation du Christ
et la comparution du Christ devant Pilate. Sur le registre à
droite du tympan, enfin, le Reniement de saint Pierre. Deux chapiteaux
historiés surmontent les colonnes portail. A gauche, la scène
mutilée représente les ermites saint Paul et saint
Antoine au désert. A droite, un oiseau tricéphale
affronte un guerrier, image du combat des vertus et des vices. Enfin,
deux corbeaux avec des anges combattants gardent
l’entrée : à gauche, saint Michel et le dragon,
et à droite, un ange brandissant le glaive défendant
un petit personnage recroquevillé.
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Le narthex et
ses sculptures |
Sculptures du
portail :
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Portail |
Tympan |
Christ |
Linteau : le
baiser de Judas |
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Linteau |
Linteau |
Linteau |
Chapiteau :
faune et oiseau tricéphale
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Chapiteaux |
Chapiteaux |
Corbeau |
Corbeau : ange
à bouclier |
Les chapiteaux
du narthex sont également remarquables. Datés vers
1120-1125, ils sont au nombre de dix-huit dans les parties basses
du narthex. Les scènes au décor mythique ou végétal,
sans avoir la prétention des grands ensembles bourguignons,
égalent la qualité de certains chapiteaux de Vézelay.
Un chapiteau montre une sirène à double queue ainsi
que la luxure punie, représentée par une femme rongée
par deux serpents. Le chapiteau des deux éléphants
affrontés, aux pattes de sanglier, est également fameux.
Un troisième montre les coquilles Saint-Jacques, rappelant
la route de Compostelle. Les autres chapiteaux, plus modestes,
sont sculptés de feuillages, de fruits, de feuilles d'acanthes
et de pommes de pin. Les bases de colonnes du narthex
sont également décorées. Les thèmes
rappellent ceux de Vézelay et de
Mâcon : des têtes monstrueuses,
des bœufs, des feuillages, des oves, des fleurs ou des motifs
anthropomorphiques. On y trouve aussi un acrobate aux pieds renversés
autour de la tête.
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Chapiteau du
narthex : la Luxure punie |
Les chapiteaux
et bases de colonnes du narthex :
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Eléphants
affrontés |
Luxure et Sirène |
Coquilles
Saint-Jacques |
Fruits |
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Feuillages |
Feuillages |
Feuillages |
Feuillages |
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Bases
de colonnes |
Tête |
Bœufs |
Fleurs |
Visitons ensuite
l’intérieur de l’église proprement dite.
Largement encore de style ottonien, la nef du 11e
siècle fut construite en petits moellons carrés. Elle
fut plus courte à l’origine, puisque la première
travée avec son arcade fut ajoutée au 12e siècle
pour communiquer avec le nouveau narthex. Son arcade conserve deux
chapiteaux et deux bases de colonnes dans le style du narthex. La
partie sud de la nef est encore d'origine, avec ses six arcades
sur des piliers carrés avec impostes, au-dessous des six
fenêtres hautes. A l’origine plafonnée, la voûte
en plâtre da la nef remonte au 19e siècle et remplaçait
une voûte en bois. L’ancienne charpente en mauvais état,
poussant sur les murs, est restaurée. Seul le bas-côté
sud, plafonné et remanié, a été
conservé. Le mur nord de la nef, avec ses baies gothiques,
date du 16e siècle. Du bas-côté nord, perdu,
ne restent que quelques arrachements au niveau de la première
travée.
Le transept est une conception rare et élégante
du premier art roman. Une haute coupole-lanterne sur trompes couvre
la croisée. Son élévation est à trois
étages : des grandes arcades, des arcs diaphragmes avec des
arcades géminées, et des baies simples de la souche
carrée de l’ancienne tour-lanterne. Les arcades géminées,
d’allure carolingienne, présentent des colonnettes
de marbre à chapiteaux sculptés. Le croisillon nord
a été renforcé vers 1095 après un incendie
: sa voûte d’arêtes repose sur quatre piliers
ronds aux angles. Les arrachements d’une absidiole sont visibles
à l’est. Le croisillon sud, coupé au 18e siècle,
est un petit espace tronqué avec une voûte en bois
qui prolonge le bas-côté.
Le chœur de l’église fut élevé
en gothique sur des bases romanes. L’abside polygonale avec
ses hautes baies flamboyantes, ainsi que les parties hautes de la
travée de chœur voûtée d’ogives,
datent de la fin du 15e siècle. Les parties basses sont encore
romanes, avec un plan bénédictin avec deux travées
à bas-côtés et trois absides orientales à
l’origine. Les arcatures doubles des bas-côtés
et la baie au nord sont encore du 11e siècle. Des chevets
plats avec des baies murées montrent encore les traces d’arcs
en plein cintre des deux absidioles disparues. Les chapelles, au
nord du transept et au sud du chœur, sont plus tardives.
Intérieur
de l'église:
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Ensemble |
Nef |
Elévation |
Bas-côté |
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Transept |
Croisée |
Arcs du
transept |
La
coupole |
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Arcade géminée |
Chapiteau |
Chœur |
Arcades du
bas-côté du chœur |
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Chapiteau |
Chapiteau |
Base de colonne |
Imposte |
Les bâtiments
du prieuré se trouvaient autour de l’église.
La position du cloître, au sud de l’église,
est reconstituée par un jardin. Des arrachements sur le mur
sud de la nef présentent des consoles remontant à
la reconstruction du cloître au 15e siècle. Les bâtiments
qui se trouvaient autour du cloître ont été
détruits, comme le chapitre, le dortoir, la cuisine, le réfectoire,
le chauffoir, l’infirmerie, le parloir et la maison des hôtes.
Devant la façade de l’église, quelques bâtiments
et deux tours carrées sont encore debout.
Il y a l’entrée du prieuré
avec une grande porte romane, la Maison du Prieur
plus tardive (actuellement centre médical), les écuries,
l’ancienne boulangerie et la Tour Prison. De la grande fortification
ovale, facile à retracer, est conservée la base d’une
tour circulaire.
Bâtiments
du prieuré :
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Emplacement
du cloître |
Console du
cloître |
Maison du Prieur |
Boulangerie
et tour prison |
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Tour
du prieuré avec porte romane |
Visite
Normalement,
l'église se visite de 10h à 18h.
Pour en savoir
plus sur Perrecy, vous pouvez visiter les sites Internet suivants
:
Site
de l'association pour le sauvetage de l'église : http://eglise.perrecy.free.fr/.
Site sur le village et son église : http://perrecylesforges.free.fr.
Site de la commune : http://www.perrecy-les-forges.fr/.
Page
romanes.com : http://www.romanes.com/Perrecy-les-Forges/.
Page photos églises : http://photos-eglises.fr/Bourgogne/71/Perrecy/perrecy.htm.
Page C.E.P. : http://cep.olympe.in/pages/roman/perrecy.htm.
Page blog vogage : http://vogage-roman-art.blogspot.nl/2011_05_01_archive.html.
Page petit patrimoine : http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=71346_1.
Page fondation du patrimoine : https://www.fondation-patrimoine.org/fr/bourgogne-5/tous-les-projets-292/detail-eglise-saint-pierre-saint-benoit-de-perrecy-les-forges-12328.
Page wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Perrecy-les-Forges.
Page terre de trésors : http://www.terredetresors.com/tresors/eglise_prieurale_carolingienne_saint-pierre-et-saint-benoit_de_perrecy.html.
Vous pouvez
également consulter les références suivantes
:
- Barres H.,
Perrecy, son Eglise, son Prieuré, 1938.
- Magnien
E., Les eglises romanes de la Bourgogne du Sud, Mâcon,
1979.
- Oursel
R. et A.-M., Les Eglises Romanes de l’Autunois et du Brionnais,
Cluny et sa région, Mâcon, 1956.
- Sapin C., Arnaud C. et Berry W., Bourgogne Romane, Dijon,
2006.
- Tokita-Darling M., Les sculptures du portail de Perrecy les
Forges, sources brionnaises et innovations.
- Rayonnement de Perrecy, Zodiaque Trimestriel, 1978.
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