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Châtillon-sur-Seine
Edifice |
Eglise
Saint-Vorles, ancienne collégiale Saint-Martin-Notre-Dame-et-Saint-Vorles |
Situation |
Terrasse
dominant la ville, 21400 (Côte-d'Or) |
Parties
Romanes |
Westbau,
nef, bas-côtés, transept, chœur et abside |
Décoration |
Bandes
lombardes, autel, fresques du 12e siècle |
Datation |
Début
du 11e siècle |
Introduction
- Historique - Description
- Visite
Introduction
La petite ville
de Châtillon est la capitale du Châtillonais, pays des
forêts et des plaines au nord-est de la Bourgogne, et conserve
encore beaucoup de témoignages de son passé. Le joyau
de la ville est l’église Saint-Vorles avec ses deux
clochers qui, de par sa situation au dessus d’un plateau élevé,
domine la ville. Ici s’élevait l’important Château
fort des Ducs de Bourgogne et des évêques de Langres,
duquel ne subsistent que quelques pans de murs. Une église
conservant les reliques de Saint-Vorles y existait depuis le 9e
siècle. L’église collégiale construite
au début du 11e siècle par l’évêque
de Langres est l’un
des plus anciens édifices romans de la Bourgogne. Les bandes
lombardes qui décorent l’extérieur de l’église
sont caractéristiques de l’art dit lombard, qu’on
retrouve dans les églises contemporaines de Saint-Philibert
de Tournus et Saint-Bénigne de
Dijon, mais qui est rare dans cette partie
septentrionale de la Bourgogne. On remarque une influence plutôt
ottonienne ou carolingienne dans le westbau de l’église,
qui est un véritable transept occidental à deux étages
couronné par un clocher, rappelant les grandes églises
rhénanes. La haute nef à
quatre travées flanquées de bas-côtés
est remarquable par ses piliers quadrilobés, tandis que ses
voûtes d’arêtes ne datent que du début
du 17e siècle, époque pendant laquelle le westbau
a aussi été remanié. Le transept est voûté
d’une haute coupole-lanterne surmontant un clocher, il s’agit
de l’un des premiers ensembles voûtés de la Bourgogne.
Du chœur roman ne restent que la courte travée et l’abside
centrale, tandis que les absidioles sont remplacées aux 14e
et 15e siècles par des chapelles rectangulaires. L’austérité
et la simplicité de l’architecture romane primitive
sont cependant conservées après les remaniements.
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Saint-Vorles
sur son rocher |
La ville conserve
d’autres trésors, notamment le célèbre
vase de Vix dans le musée archéologique. Aussi sont
à visiter deux autres églises romanes remarquables,
construites vers le milieu du 12e siècle sur le modèle
de l’abbaye cistercienne de Fontenay,
avec une nef sous berceau brisé contrebutée par les
voûtes en berceaux transversaux des collatéraux. D’abord,
l’église Saint-Nicolas
dans le centre ville, avec son clocher roman et son haut chœur
gothique, qui est l’ancienne chapelle de l’hôpital
Saint-Germain. Plus loin se trouve l’église
Saint-Pierre de l’ancienne abbaye Notre-Dame, privée
de son chœur mais conservant sa large nef romane. Je mentionne
enfin l’ancienne chapelle Saint-Thibault, également
du 12e siècle.
Historique
Le
rocher dominant la Seine était le site d’un castrum
ou oppidum des évêques de Langres
depuis le Haut Moyen-Age. Sans en avoir des précisions, c’est
probable qu’une église ou chapelle castrale fut construite
dans l’enceinte du château épiscopal, d’après
certaines sources dès le 5e siècle. Cet édifice
portait le vocable de Notre-Dame puis de Saint-Martin. En 868, l'évêque
Isaac entreprend la translation des reliques de Saint-Vorles,
prêtre du 6e siècle enterré à Marcenay,
de l’église de ce village à l’église
du castrum de Châtillon. C’est l’époque
des invasions normandes et le but était sans doute de protéger
les reliques et en même temps d’enrichir l’église
du castrum cher aux évêques. Depuis 973, le château
fut partagé entre les évêques de Langres et
les Ducs de Bourgogne. C’est l’évêque Brun
de Roucy (980-1016) qui fonde un chapitre de chanoines et qui
commence à construire une nouvelle église à
la gloire de Notre-Dame, Saint-Martin et Saint-Vorles. Construite
dans l’enceinte du castrum, la collégiale de style
roman primitif se situe alors autour de l’an mil. Le chanoine
Aganon nous a laissé une description de la vie de
Saint-Vorles (Vita San Veroli, deuxième quart du
11e siècle). Le futur Saint-Bernard aurait fait ses études
au chapitre de Châtillon entre 1098 et 1108. Les chanoines
adoptent la règle de St-Augustin vers 1135.
Le château fut endommagé en 1359 par les anglais puis
en partie restauré. L’église fut incendiée
en 1475 par les armées de Louis XI puis encore vers 1598
quand le château fut détruit sous autorisation du roi
Henri IV. C’est probable que la voûte de la nef et le
clocher occidental furent détruits pendant l’un des
incendies. En tout cas, une restauration complète fut entamée
de 1601 à 1619 : remaniement du westbau et de son clocher,
ajout d’un porche, construction des voûtes de la nef,
rehaussement des bas-côtés, ajout de contreforts, agrandissement
des fenêtres du chœur et construction des chapelles de
la nef. L’église fut paroissiale jusqu’au début
du 19e siècle quand elle devint succursale de Saint-Nicolas.
Des travaux en 1854 vont ajouter des tourelles de façade,
une sacristie au chevet et un cul-de-four à la chapelle Saint-Bernard.
L’église et les vestiges du château ont été
classés Monument Historique en 1909, entrainant des travaux
d’entretien, puis la réfection des toitures en 1927-1934.
Une restauration importante en 1959-1978 entame la destruction des
ajouts de 1854, la restauration des baies du westbau, la réfection
de l’enduit intérieur, la couverture du clocher occidental,
la consolidation en sous-œuvre du transept et la restauration
intérieure du chœur. Les vestiges du château ont
été consolidés en 1979-1982. Enfin, une dernière
campagne de restauration en quatre tranches, entre 1997 et 2009,
complète le rétablissement de Saint-Vorles.
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Diptyque de
la translation des reliques (16e siècle) |
Description
Saint-Vorles,
malgré les restaurations multiples, conserve bien le noyau
de l’église de l’an mil, de style homogène
et remarquable. Traditionnellement attribué à la fin
du 10e siècle (vers 980-990), c’est plus probable d’y
voir une création du début du 11e siècle (vers
1000-1020), époque de la naissance de l’art roman en
Bourgogne. L’église fut construite en petit appareil
calcaire, généralement couvert par un enduit datant
des restaurations mais qui pourrait bien être comparable à
l’état primitif. Le plan de l’ensemble
présente un westbau (narthex ou transept occidental) d’une
travée, une nef avec bas-côtés de quatre travées,
un grand transept saillant et un chœur avec abside entourée
de plusieurs chapelles ajoutées après-coup. Le plan
d’origine fut alors en grande partie conservé, à
l’exception des absidioles du chœur dont il est difficile
d’établir le plan avec certitude. Le plus probable
semble un nombre de deux absidioles au lieu de quatre, situées
à côté de la travée de chœur et
peut-être en communication avec celle-ci comme à Cluny
II. L’édifice était couronné par
deux clochers situés sur le westbau et sur la croisée.
L’existence d’un westbau a souvent été
considérée comme une influence ottonienne ou carolingienne,
tandis que la décoration lombarde est une influence méridionale,
témoignant de l’originalité du monument. Le
grand escalier qui mène à l’esplanade de Saint-Vorles
depuis le bourg date des 17e et 18e siècles.
Visite
extérieure
L’aspect
extérieur est trapu avec les différents volumes étagés
décorés de bandes lombardes. Le westbau
est bien visible avec son massif transversal surmontant la façade
occidentale remaniée. Le porche et le clocher de la façade
sont du 17e siècle, le portail présente des vestiges
de peintures murales du 15e siècle. Le pignon nord du westbau
est bien conservé avec ses deux étages de baies et
ses bandes lombardes sur trois faces. La partie sud du westbau a
été complètement remaniée et le pignon
a été remplacé par une toiture rampante prolongeant
celles des bas-côtés. L’extérieur de la
nef est également d’aspect remanié
avec la construction de chapelles et de contreforts du 17e siècle.
Seul au nord on trouve deux travées aux maçonneries
et baies d’origine avec des lésènes indiquant
la présence probable de bandes lombardes disparues lorsque
les bas-côtés ont été rehaussés.
Façade
et nef :
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Ensemble |
Nef |
Transept |
Baie |
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Façade |
Westbau |
Arcatures |
Porche |
Le transept
est impressionnant avec ses pignons décorés et sa
haute tour de croisée. Trois couples de bandes lombardes
décorent les pignons nord et sud des croisillons, dont les
baies ont été agrandies. On retrouve les bandes lombardes
sur les murs latéraux des croisillons, en partie masqués
par les chapelles, et sur la souche carrée de la coupole-lanterne
de la croisée. Le clocher du transept surmontant la souche,
avec ses baies géminées et sa corniche, date sans
doute du 12e ou 13e siècle. La travée de chœur
et l’abside complètent le bel agencement du chevet
et sont également allégés par des bandes lombardes.
Les toitures de l’ensemble sont en lave.
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Transept et
chevet de l'église |
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Chevet |
Transept |
Pignon |
Arcatures |
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Abside |
Croisée |
Clocher |
Baies |
Visite
intérieure
L’intérieur
entièrement voûté est d’apparence homogène
mais les parties romanes ont leurs qualités différentes.
Le westbau remanié au 17e siècle
était à l’origine un ensemble de deux étages
voûtés ouverts vers la nef. La partie basse a pour
centre un vestibule en berceau s’ouvrant sur la nef par un
arc outrepassé bien original. Ses bas-côtés
sont plus bas que ceux de la nef et s’ouvrent par des arcades
en plein cintre, l’arcade vers le bas-côté sud
a été murée tardivement pour former la chapelle
du sépulcre. La partie haute comprend une grande tribune
centrale avec grande arcade vers la nef et une voûte d’arête
du 17e siècle. Elle servait de tribune d’orgue après
les remaniements mais avait sans doute un aspect similaire dans
l’église romane. Au nord, la salle haute a été
bien conservée avec sa voûte en berceau et ses arcs
de décharge. La partie haute sud a été refaite
et n’offre plus d’intérêt.
L’architecture de la nef est originale avec
ses piliers quadrilobés aux colonnes engagées maçonnées
soutenant les grandes arcades en plein cintre. Les colonnes aplaties
se transforment en pilastres qui montent vers la voûte sans
l’intermédiaire de chapiteaux ou d’impostes.
Il n’y a pas de baies dans la nef centrale, même si
à l’origine il y avait probablement des fenêtres
hautes. Les voûtes d’arêtes sur doubleaux et impostes
datent de la réfection du 17e siècle. On accepte généralement
que la nef fut à l’origine couverte d’une charpente,
mais la construction solide et les piliers pourraient également
indiquer une voûte en berceau. Les bas-côtés
sont voûtés d’arêtes sur doubleaux, qui
sont probablement d’origine, même si une reprise partielle
au 17e siècle semble évidente. Les murs latéraux
sont cantonnés de colonnes engagées faisant face aux
piliers. Deux chapelles du début du 17e siècle flanquent
les deux dernières travées de la nef : la chapelle
Sainte-Croix au sud et l’oratoire de Notre-Dame-de-Toutes-Grâces
au nord (décor du 19e siècle).
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Nef |
Elévation |
Arcades |
Piliers |
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Bas-côté |
Bas-côté |
Entrée |
Tribune |
Le transept
conserve son état de l’an mil avec sa croisée
sous une haute coupole-lanterne surmontant quatre arcs en plein
cintre et ses croisillons voûtés en berceau. C’est
l’un des premiers ensembles voûtés de la Bourgogne.
Les parois des croisillons sont à remarquer pour les fenêtres
hautes romanes, les arcades en plein cintre qui donnaient à
l’origine sur les absidioles et les arcs murés aux
extrémités. Dans les bras du transept on trouve le
saint Sépulcre au nord (mise au tombeau provenant du couvent
des Cordeliers) et le diptyque avec peintures sur bois de la translation
des reliques de 858 au sud, œuvres de l’art du début
du 16e siècle.
La travée de chœur voûtée
en berceau conserve ses baies romanes tandis que les trois baies
de l’abside ont été agrandies tardivement. Les
boiseries sont du 17e siècle. Les ébrasements des
fenêtres du transept sud et de la baie nord du chœur
conservent des fresques romanes probablement du
12e siècle aux décors géométriques.
Les chapelles du chœur sont des ajouts des
14e et 15e siècles : la chapelle Sainte-Thérèse
en berceau, tout au nord, la chapelle du Carmel en berceau brisé,
au nord, et la chapelle du Rosaire au sud avec deux ogives retombant
sur des culots sculptés. Les passages entre les chapelles
et la travée de chœur ont été murés.
Des peintures gothiques de l’ancien et du nouveau testament
couvrent les voûtes de la chapelle Ste-Thérèse.
L’ancienne sacristie du 17e siècle se cache derrière
la chapelle du Rosaire.
Sous le transept nord se trouve la chapelle Saint-Bernard,
fausse crypte faisant partie des fondations de la construction du
11e siècle ayant pour but de compenser la déclivité
du terrain vers la falaise. On a longtemps pensé y trouver
les vestiges de l’édifice antérieur, du Haut
Moyen-Age, mais les fondations en opus spicatum peuvent
être attribuées à l’an mil. On y entre
par l’oratoire de Notre-Dame-de-Toutes-Grâces et un
escalier de 1854. La partie ancienne se compose d’une abside
précédée d’une travée droite,
sous un plafond moderne, flanquée par des espaces latéraux
avec anciens ossuaires dans les fondations. L’abside conserve
un autel roman au décor de pilastres et
de chapiteaux et une statue de la Vierge.
Transept et
chœur :
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Chœur |
Transept |
Croisée |
Croisillon |
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Pignon |
Coupole |
Fresques |
Sépulcre |
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Chapelle nord |
Chapelle sud |
Crypte |
Autel |
Vestiges
du château
Le cimetière
actuel derrière le chevet de Saint-Vorles est l’emplacement
de l’ancien château-fort des évêques
de Langres et des ducs de Bourgogne. Les vestiges datent de l’époque
romane, du 12e siècle et peut-être même en partie
du 10e siècle. Le donjon comprend une tour ronde avec une
baie romane archaïque, deux meurtrières et une porte
murée en arc brisé. Il est flanqué de deux
tours rondes et basses, la tour de la guette et la tour Sainte-Anne
(ancien corps de garde puis four à pain). De l’autre
côté, dominant la falaise, la tour de Gissey avec ses
crénelures est du 14e siècle.
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Vestiges du
Château des Ducs derrière l'église |
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Extérieur |
Tour Ste-Anne |
Donjon |
Tour de Gissey |
A
voir aussi à
Châtillon :
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Visite
L'église
se visite tous les jours en été (juin à septembre),
les weekends en automne et printemps, et elle est fermée
en hiver.
Pour en savoir
plus sur Châtillon, vous pouvez visiter les sites Internet
suivants:
Site de la
mairie: http://www.mairie-chatillon-sur-seine.fr/.
Site de la paroisse : http://www.saintvorles.com/.
Site de l'Office de Tourisme : http://www.chatillonnais-tourisme.fr/.
Page wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Vorles.
Page bourgogne médiévale : http://bourgognemedievale.com/departement-et-pays/cote-dor/pays-chatillonnais/chatillon-sur-seine/.
Page petit patrimoine : http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=21154_5
.
Vous pouvez
également consulter les références suivantes
:
- Association
Saint-Vorles, Les Eglises de Chatillon-sur-Seine, St-Vorles,
St-Pierre, St-Nicolas, St-Jean, 1991.
- Cormier B., L’église Saint-Vorles, essai monographique,
Bulletin de l’association des Amis du Châtillonnais,
Châtillon, 2009.
- Courtois C., Reconstitution de l’état primitif
de l’église Saint-Vorles de Châtillon-sur-Seine,
d’après les documents recueillis de 1930 et 1934 inclusivement,
Congrès de l’association bourguignonne des sociétés
savantes, 1935.
- Deshoulières M., Châtillon-sur-Seine, l’église
Saint-Vorles, Congrès archéologique de Dijon,
1928.
- Lapérouse G., L’Histoire de Châtillon -sur-Seine,
Châtillon, 1837.
- Lapérouse G., Notice sur l’église Saint-Vorles
de Châtillon-sur-Seine en vue de son classement parmi les
Monuments historiques, Bulletin de la Société
archéologique et historique du Châtillonnais, 1887.
- Masson D., Restauration de l’église Saint-Vorles
de Châtillon-sur-Seine, Bulletin de l’association
des Amis du Châtillonnais, Châtillon, 2009.
- Mignard P., Monographie de l'église Saint-Vorles,
Dijon, 1874.
- Nafilyan A., Une église de l’an mil : Saint-Vorles
de Châtillon-sur-Seine, Mémoires de la Commission
des antiquités du département de la Côte-d’Or,
1988.
- Nesle E., Album pittoresque de l'arrondissement de Châtillon-sur-Seine,
Châtillon, 1853.
- Oursel R., Bourgogne Romane, Zodiaque, La Nuit des temps
1.
- Paris R., Découvertes archéologiques à
l’église Saint-Vorles, Bulletin de la Société
archéologique et historique du Châtillonnais, 1961.
- Sapin C., Arnaud C. et Berry W., Bourgogne Romane, Dijon,
2006.
- Sapin C., L’église Saint-Vorles de Châtillon
et les principes de sa construction, Association bourguignonne
des Sociétés Savantes de Châtillon-sur-Seine,
Dijon, 1992.
- Sapin C., De saint Vorles à saint Bernard. Les fondations
religieuses dans le Châtillonnais, Dossier de l’archéologie,
2003.
- Tridon, Notice archéologique et pittoresque sur Châtillon-sur-Seine,
Châtillon, 1847.
- Vergnolle E., L’église Saint-Vorles de Châtillon-sur-Seine,
Congrès archéologique de France, 1986.
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