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Auxerre

 

Edifice
Cathédrale Saint-Etienne
Situation
Centre ville, 89000 (Yonne)
Parties Romanes
Crypte et sacristie
Décoration Fresque du Christ à cheval, chapiteaux, trésor
Datation
1023-1035 (crypte) et deuxième moitié du 12e siècle (sacristie)

 

 

Introduction - Historique - Description - Visite

 

Introduction

La très belle ville d’Auxerre est la capitale de la Basse-Bourgogne et la préfecture de l’Yonne. L’évêché est fondé dès le 4e siècle et pendant le haut Moyen Âge la ville se dote d’un grand nombre d’églises et de monastères, desquels subsistent plusieurs témoignages intéressants, comme l'abbaye Saint-Germain et ses cryptes carolingiennes. La Cathédrale Saint-Etienne conserve sous le magnifique vaisseau gothique la grande crypte de la cathédrale romane de la première moitié du 11e siècle. Ce bel ensemble roman se compose de trois nefs voûtées d’arêtes, entourées d’un vaste déambulatoire à chapelle axiale. Son moyen appareil régulier particulièrement soigné est une nouvelle invention dans la première phase de l'architecture romane. On y remarque des fresques très intéressantes, notamment le Christ à cheval de la fin du 11e siècle, représentation de l'Apocalypse de saint Jean unique dans l'art du Moyen-âge. L'église supérieure est gothique, du grand chœur de la première moitié du 13e siècle jusqu'à la façade achevée par la tour nord au 16e siècle. La sacristie est de style roman tardif du 12e siècle et le trésor conserve plusieurs objets d'art anciens. L'ancien ensemble canonial au sud de la cathédrale conserve quelques bâtiments anciens dont la chapelle Saint-Clément. Derrière le chevet de la cathédrale se trouve l’ancien évêché, aujourd’hui préfecture, dont le grand bâtiment médiéval conserve une magnifique galerie romane de la première moitié du 12e siècle avec arcatures à colonnettes et chapiteaux.

 

La ville d'Auxerre avec la cathédrale à gauche

 

 

Historique

L’histoire de la ville remonte à l’époque gallo-romaine quand Autessiodurum était une bourgade importante. C’est au 3e siècle que la première église est construite au bord de l’Yonne. L’évêché est fondé dès le 4e siècle et pendant le haut Moyen Âge la ville se dote d’un grand nombre d’églises et de monastères. Le premier évêque connu est Valerianus (346-361). La légende place Pélerin comme premier évêque déjà au 3e siècle mais c'est probablement une invention des chanoines au 9e siècle. On ne sait rien sur une première cathédrale au 4e siècle, même pas son emplacement, que la légende place encore sur le site de l'église Saint-Pélerin. La cathédrale fut rebâtie à son emplacement actuel, à l'intérieur de l'enceinte du castrum antique, vers l'an 400, par Saint-Amâtre (386-415). Cette véritable première cathédrale, mentionnée au 6e siècle comme basilica Sancti Stephani in civitate, sera le premier des cinq édifices successifs sur le site entre le 5e et le 13e siècle. L'évêque Desiderius (603-621) la fait décorer de mosaïques à fond d'or. Restaurée par l’évêque Heribaldus (829-857), la première cathédrale fut détruite par un incendie à la fin du 9e siècle. La cathédrale fut reconstruite vers 900 par Herifried (887-909) dans le style carolingien alors rayonnant à l'abbaye Saint-Germain. Cette deuxième cathédrale comprenait une tour occidentale avec deux oratoires superposés, des plafonds lambrissés, des cryptes et un décor de peintures. L'évêque Gaudry (918-933) y ajouta un porche et des tribunes en bois, mais en 950 l'église sera détruite par le feu. L'évêque Guy le Vénérable (933-961) entreprend alors la reconstruction vers 950. La troisième cathédrale avait une forme en croix, des cryptes en petit appareil, plusieurs oratoires avec des autels et une entrée avec des représentations du paradis et de l’enfer.
En 1023, un grand incendie détruit à nouveau la cathédrale et une grande partie de la cité. Une grande cathédrale romane fut alors construite par l'évêque Hugues de Chalon (999-1039). Heureusement épargnée par un autre incendie en 1035, elle fut consacrée en 1057 par Geoffroy de Champallement (1052-1076). Le chantier achevé en 1059 éleva alors une grande église romane entièrement voûtée, dont la crypte encore conservée servait de soubassement, elle avait deux clochers sur son transept et une nef presque aussi vaste que la cathédrale actuelle. Les évêques suivants embellissent leur église : Robert de Nevers (1076-1084) achève les clochers et Humbaud (1087-1114) ordonne les fresques de la crypte. L'évêque Hugues de Montaigu (1115-1136) fait construire la galerie romane du Palais épiscopal.
Deux siècles après la construction de la cathédrale romane, l'évêque Guillaume de Seignelay (1207-1220) désire la refaire dans le nouveau style ogival. Le chantier de la cathédrale gothique commence en 1215 et le chœur roman fut détruit en 1217 avec la chute des clochers. Le chœur gothique fut achevé rapidement, peu après 1230, mais le chantier gothique de la cathédrale durera trois siècles. La nef romane n'avait été détruite que vers 1320 pour la construction de la nef gothique, encore en construction quand l'église fut consacrée en 1334. Le chantier fut interrompu à plusieurs reprises, après le pillage par les Anglais en 1359, puis au milieu du 15e siècle. Le transept et la façade furent achevés au cours du 15e siècle. La tour nord de la façade fut achevée en 1543 par le lanternon Renaissance, tandis que la tour sud ne fut jamais achevée.
La cathédrale fut saccagée par les protestants en 1567 et 1568, quand les huguenots détruisent une grande partie du décor sculpté et du mobilier. L'évêque Jacques Amyot (1571-1593) fait restaurer la cathédrale. Les chanoines modernisent le mobilier du chœur en 1742-1746 et en 1767-1774, remplaçant le jubé Renaissance par un autel classique. Le chapitre cessa son activité à la Révolution et en 1794 la cathédrale fut transformée en Temple de Raison. La crypte fut utilisée comme dépôt pour des objets provenant des églises détruites de la ville, puis comme cave du préfet installé dans l'ancien palais épiscopal. L'évêché d'Auxerre fut supprimé en 1821 et soumis au siège épiscopal de Sens. L'église devint alors paroissiale. La cathédrale fut classée Monument Historique en 1840 par Prosper Mérimée. De grandes campagnes de restauration commencent : Viollet le Duc restaure les cryptes de 1844 à 1848 (consolidation des piles, restitution des baies d’origine, dallage du sol) et Piéplu restaure l'église supérieure à partir de 1866. Des fouilles et inspections radar entre 1998 et 2003 ont largement contribué aux connaissances sur les états des édifices sur le site, avec la découverte des entrées occidentales de la crypte et des fondations de la façade de la cathédrale romane. Enfin, de grandes campagnes de restauration de 2001 à 2008 ont remis en état la façade et les couvertures du bâtiment.

 

L'ensemble de la Cathédrale et de l'ancien palais épiscopal

 

Description

La crypte romane se situe sous le grand chœur gothique dont elle retrace exactement le plan. C'est la seule partie conservée de la cathédrale romane de Hugues de Chalon, dont elle constituait le soubassement, permettant une extension du bâtiment tout en compensant la pente du terrain vers l'Yonne. La crypte fut construite de 1023 à 1035 dans un style roman alors nouveau. Sa construction en moyen appareil régulier est bien soignée, assurant la stabilité de la construction entière. Son plan est également unique : trois nefs à six travées se terminent en abside et sont entourées par un large déambulatoire qui s'ouvre sur une seule chapelle axiale en hémicycle. La partie orientale n'est pas souterraine et elle est éclairée par des baies. Les murs extérieurs ont été renforcés pendant la reconstruction gothique au 13e siècle, quand la chapelle axiale a été englobée dans un massif rectangulaire pour supporter la chapelle axiale supérieure. L'entrée aux cryptes, qui se faisait à l'ouest par des escaliers depuis la nef à partir de la fin du 11e siècle, a été altérée et se fait actuellement depuis l'extérieur au sud du chœur. Le dallage de la crypte date de la restauration par Viollet le Duc.

Plan des cryptes de la Cathédrale

 

La nef de la crypte se compose de trois vaisseaux à six travées dont la dernière est arrondie. Elle est voûtée par des arêtes sur des arcs doubleaux en plein cintre qui sont doublés par un tore dans la nef centrale. Dix piliers maçonnés carrés avec quatre colonnes engagées supportent les arcs de la voûte. Ils sont dépourvus de chapiteaux, mais des tailloirs à baguettes reçoivent les arcs. Les murs latéraux, également cantonnés de colonnes engagées, s'ouvrent sur le déambulatoire par des arcades. La composition avec des arcades géminées fut conservée au centre de l'abside. Une colonne partage la lumière de la chapelle axiale dans la nef et supporte un grand chapiteau avec palmettes sur quatre registres et volutes d’angle. Le déambulatoire également voûté d'arêtes sur doubleaux est plus court que la nef. Il compte neuf compartiments avec des simples pilastres recevant les voûtes et des baies ébrasées s'ouvrant en direction de l'Yonne. Quelques vestiges de fresques sont à deviner : des zigzags dans l'intrados d'un arc au sud et au nord des apôtres et un mufle de lion. L'entrée au sud, avec deux voûtes d'ogives, est du 13e siècle.

 

Photo de Thierry Cornier
La crypte romane

 

Nef centrale
Nef latérale
Nef latérale
Pilier
Arcade géminée
Arcade géminée
Chapiteau
Déambulatoire
Déambulatoire
Intrados à fresque
Chapelle axiale
Chapiteau

 

La chapelle axiale s'ouvrant sur le déambulatoire est dédiée à la Sainte-Trinité. Elle se compose d'une travée droite en berceau avec des arcatures simples et d'une abside en cul-de-four avec deux colonnes. Leurs chapiteaux sont sculptés de rangées de feuilles. Trois baies éclairent l'espace qui est célèbre pour les fresques décorant ses voûtes. Sur le berceau de la travée, la fresque du Christ à cheval occupe le centre d'une grande croix. Cette magnifique scène romane fut peinte à la fin du 11e siècle ou au début du 12e siècle sous l'évêque Humbaud. Le grand Christ en majesté est d'inspiration byzantine. Il est nimbé, porte le sceptre et est vêtu d'un manteau blanc et d'une tunique rouge. Son représentation comme cavalier sur un cheval blanc est unique. Le Christ est flanqué de quatre anges cavaliers, figurant les armées du ciel. La grande croix gemmée porte un décor de cabochons. La signification de la scène, unique et controversée, est le triomphe du Christ selon le 19e chapitre de l'Apocalypse de saint Jean. Sur le mur sud de la chapelle ont été découverts les vestiges d'une fresque de saint Michel combattant le dragon. Dans le cul-de-four de l'abside, la fresque du Christ en majesté est de la fin du 13e siècle. Elle remplaçait sans doute une fresque romane du Christ. Le Christ en gloire, bénissant de sa main droite et portant un globe surmonté de la croix de sa main gauche, montre le livre avec l'Alpha et l'Omega. Il est situé dans un quadrilobe avec deux chandeliers à sept branches. Les quatre symboles des évangélistes flanquaient le Christ, dont subsistent seulement l'homme ailé de saint Matthieu et l'aigle de saint Jean.

 

Photo de atlas-roman
Les fresques de la chapelle axiale

 

Ensemble
Christ à Cheval
Le Christ
Ange cavalier
Ange cavalier
Ange cavalier
Christ en Majesté
Christ en Majesté

 

Photo de atlas-roman
Fresque du Christ à Cheval

 

L'église supérieure, entièrement gothique, a été érigée en plusieurs phases du 13e au 16e siècle. Son plan présente une large nef à six travées, un transept saillant et un chœur avec quatre travées et abside à déambulatoire. Le chœur de 1215-1230 est la partie la plus ancienne et la plus vénérable. Son architecture à trois étages, le triforium léger, le déambulatoire à arcatures, la belle chapelle axiale de la Vierge et les magnifiques vitraux historiés sont des chefs-d'œuvre du gothique bourguignon primitif. La nef de style gothique rayonnant est en grande partie du 14e siècle. Commencée vers 1320, son élévation est à trois étages, ses voûtes sont du 15e siècle et ses bas-côtés s'ouvrent sur des chapelles latérales. Le transept des 14e et 15e siècles est démarqué par deux grands pignons à rosaces du 16e siècle. Le croisillon sud ou transept des chanoines est de la première moitié du 14e siècle et conserve des fresques de saints. Son portail extérieur présente des sculptures de la vie de saint Etienne exécutées vers 1320. Le croisillon nord ou transept de l’évêque est de la fin du 15e siècle. Son portail dont l'iconographie retrace les saints de l'église d'Auxerre présente un tympan de la vie de saint Germain. La façade occidentale fut commencée au milieu du 13e siècle par le portail sud, continuée aux 14e et 15e siècles, puis achevée au 16e siècle par la tour nord. Ses portails des 13e et 14e siècles ont été martelés par les protestants en 1567 mais conservent des sculptures abondantes : scènes de la vie de saint Jean-Baptiste et de l'enfance du Christ au portail sud, à côté d'un relief du Jugement de Salomon ; le Jugement Dernier sur le portail central avec le Christ en gloire, les apôtres, les Vierges sages et les Vierges folles, l'histoire de Joseph et l'histoire de l'enfant prodigue ; et enfin le portail nord avec son linteau au couronnement de la Vierge et ses bas-reliefs aux scènes de la Genèse. La seule tour achevée de la cathédrale, la tour nord, couronne la façade avec ses cinq étages et son clocheton Renaissance à lanternon. A droite de la façade, on observe encore les vestiges de l'ancienne chapelle Notre-Dame-des-Vertus du 16e siècle, détruite en 1780.

 

Intérieur du vaisseau gothique

 

La cathédrale gothique :
Ensemble
Façade
Portail central
Portail sud
Transept nord
Transept sud
Nef
Bas-côté
Transept
Chœur
Abside
Culot

 

La sacristie au nord du chœur est de style roman tardif de la deuxième moitié du 12e siècle. La salle se compose de quatre compartiments avec un pilier central. Les baies aux archivoltes perlées, visibles à l'extérieur, sont flanquées de colonnettes à chapiteaux.

La sacristie romane

 

Le trésor de la cathédrale a été aménagé dans la chapelle Sainte-Catherine, au sud du chœur, qui conserve des fresques de la légende de la sainte. Dispersé à plusieurs reprises, par les Huguenots et les Révolutionnaires, le trésor conserve encore près de 400 objets (en partie dans les réserves). Du 12e siècle datent un encensoir en cuivre, un crucifix en cuivre émaillé et un dessin sur parchemin. Les beaux émaux limousins sont des 12e et 13e siècles. En outre il y a des châsses et des reliques, des bibles, des manuscrits et des miniatures.

Pièces du trésor

 

Au sud de la cathédrale se trouve l'ancien ensemble canonial qui était le cœur du quartier cathédrale occupant la moitié est de l'ancien castrum. Ses bâtiments qui entouraient le cloître des chanoines ont été en grande partie démolis ou transformés et ne sont pas accessibles au public. Le grand bâtiment rectangulaire abrite la salle capitulaire avec sa charpente en carène du 15e siècle et quelques vestiges d'époque romane. Les maisons canoniales datent du 15e au 18e siècle et conservent des caves gothiques. On y trouve aussi l'ancienne église Saint-Clément, de la fin du 12e siècle ou du début du 13e siècle, qui se compose de deux chapelles superposées voûtées d'ogives avec un haut pignon à l'est. Au Moyen-âge, le quartier de la cathédrale comprenait également le Palais épiscopal avec sa galerie romane et les églises disparues de Notre-Dame-de-la-Cité (collégiale), Saint-Jean-le-Rond (ancien baptistère) et Saint-Pierre-en-Château (paroissiale).

Bâtiment du chapitre et pignon de l'ancienne église Saint-Clément

 

 

 

A voir aussi à Auxerre :

 

 

Visite

La cathédrale se visite tous les jours de 8h30 à 18h. La visite de la crypte est payante, comme celle du trésor.

Pour en savoir plus sur Auxerre, vous pouvez visiter les sites Internet suivants:

Site de la Cathédrale : http://www.cathedrale-auxerre.fr/.
Site très intéressant sur l’histoire de la ville : http://perso.wanadoo.fr/mahistaux/Auxerre.htm.
Site de l’Office de Tourisme : http://www.ot-auxerre.fr/.
Site de la ville : http://www.auxerre.com/.
Page sur les églises de la ville : http://lafrancedesclochers.clicforum.com/t650-Auxerre-89000.htm.
Page sur la cathédrale : http://lafrancedesclochers.clicforum.com/t650-Auxerre-89000.htm.
Page en anglais : http://users.wfu.edu/titus/auxcath.htm.
Page architecture religieuse : http://architecture.relig.free.fr/auxerre.htm.
Page structurae : http://lafrancedesclochers.clicforum.com/t650-Auxerre-89000.htm.
Page archinform : http://eng.archinform.net/projekte/11317.htm.
Page atlas roman : http://atlas-roman.blogspot.fr/2015/08/auxerre-cathedrale-saint-etienne.html.
Page wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Saint-%C3%89tienne_d%27Auxerre.
Page du diocèse : http://catholique-sens-auxerre.cef.fr/spip1.9/Cathedrale-Saint-Etienne.html.
Page mapping gothic (beaucoup de photos) : http://mappinggothic.org/building/1084.
Page petit patrimoine: http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=89024_26.
Page sur le trésor : http://www.liturgiecatholique.fr/Tresor-de-la-cathedrale-Saint.html.
Page de blog : http://www.christaldesaintmarc.com/la-cathedrale-saint-etienne-d-auxerre-c653168.
Visite virtuelle de la crypte : http://www.taranisprod.net/real/auxerre.htm.

Vous pouvez également consulter les références suivantes :

- Barbier P., Auxerre et l’Auxerrois.
- Dabas M., Non-destructive sensing projects beneath Auxerre Cathedral, Gesta, 2001.
- Delahaye G.-R., Labbé, A. et Roumailhac, J., Auxerre Ve-XIe Siècles, L'abbaye Saint-Germain et la cathédrale Saint-Étienne, Paris, 1991.

- Delasselle C., Les églises romanes de l’Yonne, Auxerre, 2003.
- Denny, D., A Romanesque fresco in Auxerre Cathedral, Gesta, 1986.
- Deschamps P., La Cathédrale d’Auxerre, Paris, 1948.
- Enlart, La Cathédrale d’Auxerre, Paris.
- Forestier H., Auxerre et sa cathédrale, Auxerre, 1982.
- Foucault M., La Cathédrale d’Auxerre, Paris, 1948.
- Fourrey R., La cathédrale Saint-Etienne d’Auxerre, Auxerre 2000.
- Guyot P. et Wahlen P., La cathédrale Saint-Etienne d’Auxerre, guide de visite, 2000.
- Heath A., Architecture, rituel et identité dans la cathédrale Saint-Etienne et l'abbaye Saint-Germain d'Auxerre, C.E.M., 2004.
- Hohl C., Eglises romanes de l’Yonne, Auxerre, 1978.
- Louis R., Autessiodurum Christianum : les églises d'Auxerre des origines au XIe siècle, Paris, 1952.
- Moreau A., Cathédrale d’Auxerre, Nouvelles Editions Latines.
- Philippe A., L’architecture religieuse aux XIe et XIIe siècles dans l’ancien diocèse d’Auxerre, Bulletin Monumental, 1904.
- Porée C., La Cathédrale d’Auxerre, Paris, 1926.
- Quantin M., Répertoire Historique du département de l’Yonne, 1868.

- Rollier-Hanselmann J., D’Auxerre à Cluny : techniques de la peinture murale entre le VIIIe et le XIIe siecle en Bourgogne, Poitiers, 1997.
- Sapin C., Saint-Etienne d'Auxerre; la seconde vie d'une cathédrale, Paris 2011.
- Sapin C. (dir.), Les prémices de l’Art roman en Bourgogne, Centre d’études médiévales, Auxerre, 1999.
-
Sapin C., Arnaud C. et Berry W., Bourgogne Romane, Dijon, 2006.
- Sapin C., Auxerre, la cathédrale Saint-Etienne, C.E.M., 2004-2005.
- Sapin C., Dix ans de recherche à l'abbaye Saint-Germain d'Auxerre et à la cathédrale Saint-Étienne d'Auxerre, 2 tomes, CEM/CTHS, Auxerre, 1999.
- Titus H., The Architectural History of Auxerre Cathedral, Princeton, 1984.
- Vallery-Radot J., La cathédrale Saint-Etienne. Les principaux textes de l'histoire de la construction, Congrès archéologique, 1958.
- Auxerre, Zodiaque, la Carte du Ciel.

 


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