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          Cluny 
              
            
               
                |   Edifice  | 
                  Maisons 
                    romanes de la ville  | 
               
               
                |   Situation  | 
                  Centre 
                    ville; Rues de la République, d'Avril, du Merle, Joséphine 
                    Desbois, Lamartine, de la Barre, Notre-Dame, des Ravattes, 
                    Saint-Mayeul, de la Chanaise et du Frêne; 71250 (Saône-et-Loire)  | 
               
               
                |   Parties 
                    Romanes  | 
                  Façades, 
                    portes, baies, logis et charpentes  | 
               
               
                | Décoration | 
                Arcatures 
                  et baies géminées à frises, pilastres, 
                  colonnettes, chapiteaux et sculptures | 
               
               
                |   Datation  | 
                  12e 
                    siècle  | 
               
             
              
            
              
            Introduction 
              - Description - Visite 
              
              
              Introduction 
            Cluny conserve, 
              dans les quartiers entourant la grande abbaye, 
              l’ensemble le plus important d'architecture romane civile 
              en Bourgogne, même unique en Europe. Ce bourg monastique 
              s'est développé dans l'ombre de l'abbaye du 11e au 
              14e siècle et comptait 3000 habitants. En 
              totalité, quelques 200 maisons médiévales sont 
              encore conservées à Cluny. Dans les rues de la ville 
              ancienne, surtout la Rue d’Avril, la Rue du Merle, la Rue 
              de la République et autour de la Place Notre-Dame, on peut 
              admirer plusieurs façades du 12e siècle, 
              époque de développement du réseau urbain, grâce 
              à l’épanouissement de l'abbaye. Les plus belles 
              façades présentent au premier étage des claires-voies, 
              qui éclairent le logis principal, avec arcatures décorées 
              de pilastres, de colonnettes, de chapiteaux et de frises sculptées. 
              Le rez-de-chaussée est toujours plus sobre, avec une grande 
              arcade utilisée pour le commerce. Quelques façades 
              de ce type ont été conservées entièrement 
              et sont maintenant bien restaurées, d'autres façades 
              ont été maintes fois remaniées et conservent 
              seulement une baie géminée ou une porte du Moyen Age. 
              Il y a également quelques sculptures romanes encastrées 
              dans les façades. A l'intérieur, plusieurs maisons 
              conservent encore leurs charpentes d'origine, des cheminées 
              et des peintures. En Bourgogne, d'autres maisons romanes sont à 
              voir à Vézelay, à 
              Tournus, et à Beaune. 
               
            Les maisons 
              de la ville nous ont laissé un ensemble unique de la sculpture 
              civile romane. Il s'agit des pièces provenant des 
              maisons de la ville, comme des frises ou colonnes de claires-voies, 
              des bas-reliefs, des chapiteaux. On y rencontre des animaux et une 
              riche vocabulaire de formes géométriques et de motifs 
              végétaux. Les plus belles sculptures sont sans doute 
              le bas-relief de la belle pierre, les médaillons de la frise 
              des vendanges et le pilastre du Cordonnier. Plusieurs sculptures 
              déposées sont conservées au Musée Ochier. 
              En 2010, un exposition Des 
              Pierres et des Hommes  a été organisé pour 
              faire connaitre ce patrimoine roman civil exceptionel. D'autres 
              vestiges sont conservés dans les alentours de Cluny, par 
              exemple à Lournand.  
            Dans la ville, 
              à l'extérieur de l'enceinte de l'abbaye, 
              encore d'autres monuments sont à voir. Il y a d'abord les 
              églises paroissiales, l'église romane Saint-Marcel 
              avec son merveilleux clocher octogonal et la belle église 
              Notre-Dame, construite dans un beau style gothique primitif 
              du 13e siècle sur les fondations d'une église romane. 
              En outre, il y a les vestiges de deux autres églises romanes. 
              L'ancienne chapelle romane Saint-Odilon conserve des arcatures 
              et chapiteaux du 11e siècle dans une maison de la Rue du 
              19 Mars 1962. De l’ancienne église paroissiale Saint-Mayeul 
              restent un mur en opus spicatum du 10e siècle et 
              une chapelle gothique du 15e siècle. Puis il y a encore l'Enceinte 
              urbaine qui englobe celle de l'abbaye. Il en reste la Tour Saint-Mayeul 
              et deux portes des 12e et 13e siècles, la porte Saint-Mayeul 
              à l'ouest et la porte Saint-Odile au sud.  
              
            
              
               
                |   | 
               
               
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                 Gravure de 
                    Sagot : une rue de Cluny  | 
               
             
              
              
              Description 
            Ci-dessous 
              sont mentionnées, pour chaque rue, les maisons romanes principales. 
              Bien sûr les maisons sont des propriétés privées, 
              alors les trésors intérieurs restent normalement cachés. 
              Les rues se retrouvent sur le plan de la ville. On visite enfin 
              les trésors sculptés dans le Musée Ochier et 
              quelques autres monuments de la ville.  
              
            
              
               
                |   | 
               
               
                 | 
               
               
                 Plan du centre 
                    ville avec indication des maisons romanes  | 
               
             
              
            Rue 
              de la République 
              
              23 Rue de la République : façade à linteau 
              de porte et fragment d’arcature de claire-voie, 12e siècle. 
               
                25 Rue 
              de la République : Maison du puits des Pénitents 
              Noirs, façade classique à arcade et claire-voie 
              décorée avec colonnettes, pilastres et chapiteaux, 
              vers 1160.  
                Vestiges 
              probables (mais non visibles depuis la rue) aux numéros : 
              14, 16, 17, 18, 27.  
            
               
                 
                    Rue 
                      de la République : 
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                Façade 
                    romane (no25)   | 
                Arcatures 
                    décorées  (no25) 
                      | 
                Chapiteau et 
                    médaillon  (no25)   | 
                Fragment 
                    de claire-voie (no23)  | 
               
             
               
            Rue 
              d'Avril 
              
              6 Rue d’Avril : Hôtel de la Monnaie (ou Hôtel 
              des Monnaies), façade à deux arcades et claire-voie 
              de baies rectangulaires à colonnettes, intérieur avec 
              logis et salles avec deux cheminées et deux escaliers, vers 
              1150-1200.  
                12 Rue 
              d’Avril : Maison Descours, façade à deux 
              arcades et baie géminée à colonnette, chapiteau 
              et arcatures, 12e siècle.  
                15 Rue 
              d’Avril : façade classique à arcade et claire-voie 
              décorée avec colonnettes et arcatures, intérieur 
              à deux étages divisés en deux salles avec voûte 
              rampante et escalier, vers 1150.  
                Vestiges 
              probables (mais non visibles depuis la rue) aux numéros : 
              13, 15-bis, 22, 24.  
            
               
                 
                    Rue 
                      d'Avril : 
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                
  | 
               
               
                Façade 
                    à claire-voie  (no15)  | 
                Arcatures 
                    (no15)  | 
                Hôtel 
                    de la Monnaie (no6)   | 
                  | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                  | 
               
               
                Portes 
                    de l'Hôtel (no6)  | 
                Maison Descours 
                    (no12)  | 
                Arcature 
                    murée (no12)  | 
                  | 
               
             
              
            
              
               
                |   | 
               
               
                 | 
               
               
                Arcatures de 
                    claire-voie (15 Rue d'Avril)  | 
               
             
              
            Rue 
              du Merle 
              
              1 Rue du Merle / 2 Rue Joséphine Desbois : Maison des 
              Vendanges, emplacement de claires-voies et de la frise des vendanges 
              (voir ci-dessous), 12e siècle.  
                9 Rue 
              du Merle : Demeure Duforeau, façade classique à 
              arcade, claire-voie décorée à colonnettes et 
              arcatures, et deux baies géminées, 12e siècle. 
               
                11 Rue 
              du Merle : façade avec baie géminée à 
              chapiteau et à frise, et avec baies rectangulaires, 12e siècle. 
               
                18 Rue 
              du Merle : emplacement de claire-voie et du pilastre du Cordonnier 
              (voir ci-dessous), 12e siècle.  
                Vestiges 
              probables (mais non visibles depuis la rue) aux numéros : 
              20, 22/24, 47/49. Aussi : 39 et 41 Rue Mercière.  
            
               
                 
                    Rue 
                      du Merle : 
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                Façade 
                    à triple élévation (no9)   | 
                Arcatures 
                    décorées (no9)   | 
                Baies 
                    variées (no11)   | 
                Emplacement 
                    du pilastre du Cordonnier (no18)   | 
               
             
              
            Rue 
              Joséphine Desbois 
              
              4 Rue Joséphine Desbois : façade à claire-voie 
              décorée avec chapiteaux et frise, 12e siècle. 
                5-bis 
              Rue Joséphine Desbois : façade à baie rectangulaire 
              à chapiteaux, 12e siècle. 
                6-ter 
              Rue Joséphine Desbois : façade classique à 
              claire-voie décorée avec colonnettes et frise, 12e 
              siècle.  
                Vestiges 
              probables (mais non visibles depuis la rue) aux numéros : 
              1, 13.  
            
               
                 
                    Rue 
                      Joséphine Desbois : 
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                Façades 
                    à claire-voies (no4)  | 
                Baie 
                    décorée (no4)   | 
                Arcatures 
                    décorées (no6-ter)   | 
                Baie 
                    à chapiteaux (no5-bis)   | 
               
             
             
             
            Place 
              Notre-Dame et Rue de la Barre 
               
              13 Rue Notre-Dame / 3 Rue de la Barre : façade latérale 
              avec baie géminée à chapiteau et baies géminées 
              murées, logis, charpente, daté 1136. 
                8 Rue 
              de la Barre : Maison des Griffons, façade à 
              baies rectangulaires avec colonnettes, pilastres décorés 
              et chapiteaux à dragons et oiseaux, intérieur à 
              deux étages divisés en deux salles, vers 1200-1250. 
                20 Rue 
              de la Barre : façade avec baie rectangulaire à colonnette 
              et chapiteau.  
                Vestiges 
              probables (mais non visibles depuis la rue) aux numéros : 
              5 Rue de la Barre, 7 Rue Notre-Dame.  
            
               
                 
                    Rue 
                      de la Barre et Place Notre-Dame 
                      : 
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                Baies 
                    murées (no3)   | 
                Baie 
                    géminée (no3)   | 
                Pilastre 
                    et dragons (no8)  | 
                Colonne 
                    et chapiteau (no20)   | 
               
             
              
            
              
               
                |   | 
               
               
                 | 
               
               
                Façade 
                    avec baies à colonnettes et pilastres (8 Rue de la 
                    Barre)  | 
               
             
              
            Rue 
              Lamartine 
              
              15 Rue Lamartine : Maison Duranton, façade à 
              baie rectangulaire et claire-voie décorée avec colonnes, 
              chapiteaux et frises, 12e siècle. 
                29 Rue 
              Lamartine : façade à vestiges de baie géminée 
              avec colonne et chapiteau, 12e siècle. 
                 
              4 Petite Rue Lamartine: façade à deux baies géminées 
              avec colonnes, chapiteaux, frises et tête sculptée, 
              12e siècle.  
                Vestiges 
              probables (mais non visibles depuis la rue) aux numéros : 
              11 Rue Lamartine, 1 Petite Rue Lamartine.  
            
               
                 
                    Rue 
                      Lamartine : 
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                Façades 
                    médiévales (no15)  | 
                Arcatures 
                    décorées (no15)  | 
                Baie géminée 
                     (no29)  | 
                Baie 
                    géminée avec tête (4 Petite Rue Lamartine)  | 
               
             
              
            Petite 
              Rue des Ravattes et quartier est 
              
              1 Petite Rue des Ravattes / 23 Rue de la Filaterie : Maison du 
              Pontet, façade à vestiges de décor de claire-voie 
              (voir ci-dessous) avec arcatures, pilastre cannelé et colonnettes, 
              charpente, 12e siècle. 
                3-5 Petite 
              Rue des Ravattes : façades restaurées à baie 
              géminée, baie rectangulaire et portes.  
                Vestiges 
              probables (mais non visibles depuis la rue) aux numéros : 
              9 Petite Rue des Ravattes, 2-bis Rue Bellepierre, 9 Petite Rue de 
              la Levée , 47 Rue Prud’hon.  
            
               
                 
                    Petite 
                      Rue des Ravattes : 
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                  | 
               
               
                Vestiges 
                    de décor (no1)  | 
                Pilastre 
                    cannelé  (no1)  | 
                Façades 
                    et baies (no3-5)  | 
                  | 
               
             
              
            Rue 
              de la Chanaise 
              
              1-3 Rue de la Chanaise (angle Rue Saint-Mayeul) : Maison du Petit 
              Saint-Jean, façade à arcades, façade latérale 
              à baie géminée avec colonne et chapiteau, 12e 
              siècle. 
                38 Rue 
              de la Chanaise : sculpture dans la façade.  
                Vestiges 
              probables (mais non visibles depuis la rue) aux numéros : 
              24, 30.  
            
               
                 
                    Rue 
                      de la Chanaise : 
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                  | 
               
               
                Baie 
                    géminée (no1)  | 
                Restitution 
                    de la façade romane (no1-3)  | 
                Sculpture 
                    d'un monstre (no38)  | 
                  | 
               
             
              
            Rue 
              Saint-Mayeul et Rue du Frêne 
              
              9 Rue Saint-Mayeul : sculpture dans la façade d’un 
              sonneur de l’olifant. 
                 
              5 Rue du Frêne : façade avec vestiges d’une arcature 
              double. 
            
               
                 
                    Rue 
                      Saint-Mayeul et Rue 
                      du Frêne : 
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                  | 
                  | 
               
               
                Sculpture 
                    (9 Rue Saint-Mayeul)  | 
                Arcature 
                    double (5 Rue du Frêne)  | 
                  | 
                  | 
               
             
                
            Sculpture 
              Civile Romane au Musée d’Art et d’Archéologie 
               
            Un ensemble 
              merveilleux de sculptures romanes provenant des 
              maisons de la ville est présenté dans le Musée 
              d’Art et d’Archéologie ou Musée 
              Ochier (voir la page de l’abbaye). 
              En 2010, une exposition Des Pierres et des Hommes a été 
              organisée pour faire connaître ce patrimoine roman 
              civil exceptionnel. Il s’agit d’éléments 
              de claires-voies de façades romanes : des arcatures, des 
              linteaux, des colonnes décorées, des chapiteaux, des 
              médaillons et des frises sculptées. Ces objets d’art 
              occupent la grande salle de Lorraine du premier étage du 
              musée ainsi que la salle d’accueil du rez-de-chaussée 
              et une petite salle du sous-sol. Quelques claires-voies y ont été 
              restituées et remontées, comme celles de la Maison 
              du Pontet, de la Maison des Vendanges, de la maison 18 Rue du Merle 
              et de deux maisons romanes et gothiques de la Petite Rue Lamartine. 
              Le décor sculpté est surtout végétal. 
              Quelques sculptures célèbres montrent la qualité 
              du décor des maisons de la ville au 12e siècle. Le 
              linteau de la Belle Pierre, provenant d’une 
              fenêtre dans la Rue Bellepierre, est sculpté de deux 
              bas-reliefs présentant un scène de tournoi avec combat 
              de cavaliers ainsi que Samson et le Lion. Le pilastre du 
              Cordonnier, emblème de l’art roman à 
              Cluny, provient de la claire-voie de la Rue de Merle. On y admire 
              également un bas-relief d’un lion, un autre lion dans 
              un médaillon, un tympan d’une porte, des corniches, 
              des colonnes, des pilastres et des chapiteaux.  
            
              
               
                |   | 
               
               
                 | 
               
               
                Linteau de la 
                    belle pierre : reliefs du Combat de chevaliers et de Samson 
                    et le lion  | 
               
             
              
            
               
                 
                    Sculpture civile 
                      romane au Musée Ochier : 
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                Samson 
                    et le lion  | 
                Chevalier  | 
                 
                    Cordonnier  | 
                Claire-voie 
                    de la Maison du Pontet  | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                Claire-voie 
                    de maison inconnue  | 
                Claire-voie 
                    de Petite Rue Lamartine  | 
                Partie 
                    de claire-voie   | 
                Colonnes 
                    décorées  | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                |  
                   Lion 
                    dévorant sa proie  | 
                
 Médaillon 
                    de lion  | 
                Tympan  | 
                Corniche  | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                |   Pilastre  | 
                Arcature  | 
                  Chapiteau  | 
                  Colonne  | 
               
             
              
            La frise 
              des vendanges est le chef-d’œuvre de la sculpture 
              civile de Cluny. Provenant de la Maison des Vendanges (angle 1 Rue 
              du Merle / 2 Rue Joséphine Desbois), au cœur de la ville, 
              la claire-voie de l’angle de rue est actuellement restituée 
              au Musée Ochier. La claire-voie est de type traditionnel 
              avec colonnes, pilastres cannelés, arcatures et chapiteaux. 
              Dans l’arcature supérieure, remarquons un éléphant 
              et une sculpture de la Luxure avec une femme à serpents chevauchant 
              un monstre. La merveilleuse frise inférieure présente 
              une série de 25 médaillons d’arcatures sous 
              des vignes à têtes humaines. A gauche, on y rencontre 
              le vendangeur et sa treille. Les médaillons décorés 
              de motifs végétaux et d’animaux nous racontent 
              les scènes figurées du monde roman. Mentionnons les 
              sculptures de la femme acrobate, le griffon, la lionne, bouc et 
              un cerf attaqué par deux chiens, le sanglier, un atlante 
              dénudé, un aigle aux ailes déployées, 
              le basilic, un personnage à tête d’animal entre 
              deux poissons et de nombreuses roses et feuilles stylisées. 
               
              
            
              
               
                |   | 
               
               
                 | 
               
               
                Claire-voie 
                    et frise de la Maison des Vendanges  | 
               
             
              
            
               
                 
                    
                    | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                Le vendangeur 
                    et une femme acrobate  | 
                Le vendangeur  | 
                Rose gauffrée 
                    et griffon  | 
                Tête de 
                    monstre   | 
               
               
                 | 
                 | 
                 | 
                 | 
               
               
                Bouc attaqué 
                    par deux chiens  | 
                Sanglier et 
                    ruban perlé  | 
                Cerf attaqué 
                    par deux chiens  | 
                Aigle aux ailes 
                    déployées  | 
               
               
                 | 
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                Thyrse 
                    et personnage   | 
                Personnage 
                    entre deux poissons   | 
                Chapiteau à 
                    sirènes   | 
                La Luxure  | 
               
             
              
              
               
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                |   Restitution 
                    de la Frise des Vendanges (1 Rue du Merle / 2 Rue J. Desbois) 
                      | 
               
             
              
              
            Enceinte 
              de la ville 
            L’enceinte 
              de la ville, englobant celle de l’abbaye, remonte à 
              la fin de l’époque romane. Elle était flanquée 
              de plusieurs portes et tours en partie conservées. La Porte 
              Saint-Odile, du côté sud de la ville, présente 
              une porte romane et une tour du 15e ou 16e siècle. La Porte 
              Saint-Mayeul, au nord-ouest, près de l’église 
              du même nom, possède des arcs surbaissés. Non 
              loin, se trouve la Tour Saint-Mayeul, une tour 
              ronde à trois étages et à bretèches. 
            
               
                 
                    Portes et tours 
                      de l´enceinte : 
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                Porte 
                    Saint-Odile  | 
                Porte 
                    Saint-Mayeul  | 
                Porte 
                    Saint-Mayeul  | 
                Tour 
                    Saint-Mayeul  | 
               
             
              
              
            Ancienne 
              église Saint-Mayeul 
            L’ancienne 
              église Saint-Mayeul, en partie détruite, se trouve 
              à l’intérieur de l’enceinte au nord-ouest 
              de la ville. Dédiée au quatrième abbé 
              de Cluny (954-994), c’était une église paroissiale 
              qui fut également prieurale plus tard. Détruite à 
              la Révolution, c’est actuellement une propriété 
              privée. On en rencontre encore le mur nord de l’église 
              romane, appareillé en opus spicatum du 10e ou 11e siècle. 
              La chapelle latérale gothique date du 15e siècle. 
              Les autres parties de l’église n’existent plus. 
                
            
               
                 
                    Vestiges 
                      de l'église paroissiale Saint-Mayeul : 
                    | 
               
               
                 | 
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                Vue de 
                    l'ancienne église  | 
                Mur 
                    en opus spicatum   | 
                Murs 
                    et tour  | 
                  | 
               
             
              
              
            Ancienne 
              église Saint-Odilon 
            L’ancienne 
              église Saint-Odilon se trouve dans la Rue du 19 mars 1962, 
              à l’extérieur de l’enceinte de la ville, 
              non loin de la Porte Sainte-Odile. Propriété privée, 
              elle fut convertie en maison d’habitation au 19e siècle. 
              La partie romane, des années 1060-1070, est l’ancien 
              chœur qui se trouvait sous le clocher de l’église. 
              A l’intérieur, on y conserve encore des arcatures sur 
              colonnettes à chapiteaux au décor de feuillages.  
              
            
              
              
            
              
               
                 
                    
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              Visite 
            Ces édifices 
              sont propriétés privées et ne se visitent pas. 
               
            Pour en savoir 
              plus sur Cluny, vous pouvez visiter les sites Internet suivants 
              :  
             Site très 
              complet sur Cluny et son abbaye : http://tinooeb.cluny.free.fr/. 
              Un site sur Cluny, Ville d’Art et d’Histoire : http://membres.lycos.fr/jlbulber/. 
              Site de l'Office de Tourisme : http://www.cluny-tourism.com/. 
              Plan de la ville sur le site : http://www.cluny-tourisme.com/files/docs/rectofinal.pdf. 
              Liste des monuments de Cluny sur Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_monuments_historiques_de_Cluny. 
              Des Pierres 
              et des Hommes, la sculpture civile clunisoise du XIe au XIVe siècle 
              : http://www.despierresetdeshommes.fr/. 
            Remerciements: 
              les de photos de la page sont en partie de Cees 
              van Halderen. 
              
            vous pouvez 
              également consulter les oeuvres suivantes : 
            - Garrigou-Grandchamp 
              P., Jones M., Meirion-Jones G. et Salvèque J.-D., La 
              Ville de Cluny et ses maisons. XIe-XVe siècles, Picard, 
              1997. 
              - Garrigou-Grandchamp P. et Salvèque J.-D., La ville 
              de Cluny du XIIe au XIVe siècle : architecture domestique 
              et structures urbaines, Université de Paris I, 1997. 
              - Garrigou-Grandchamp 
              P. et Salvèque J.-D., Les maisons de Cluny, Dossiers 
              de l'archéologie, 2001. 
              - Garrigou-Grandchamp P. et Salvèque J.-D., Les claires-voies 
              des maisons romanes de Cluny : formes et significations, Fondation 
              Eugène Piot, 1999. 
              - Garrigou-Grandchamp P. et Salvèque J.-D., Les décors 
              peints dans les maisons de Cluny, XIIe- XIVe siècles, 
              Bulletin du Centre des Études Clunisiennes, 1999.  
              - Garrigou-Grandchamp P. et Salvèque J.-D., Numéro 
              spécial consacré à l'architecture civile de 
              Cluny, Bulletin du Centre des Études Clunisiennes, 1993. 
              
              
             
              
               
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